La guerre école privée/école publique est-elle relancée ?
Vložit
- čas přidán 15. 01. 2024
- Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de la polémique entourant la ministre de l'Education nationale, A. Oudéa-Castéra, qui a relancé le débat école publique/école privée.
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5:35 mais il raconte quoi la? La majorité des élèves dans les écoles privés religieuses sous contract ne sont croyant de la dite religion…leur parents les inscrivent parce que souvent la discipline et le focus sur l’excellence scolaire est la priorité dans ces établissements.
Dans l'école de mon fils, ils ne sont que 5 enfants sur 24, inscrits en catèchese, les autres en "culture chretienne".
Sur les 5 enfants inscrits en catèchese, nous ne sommes que 3 familles à aller à la messe chaque dimanche ou presque.
Dans l'école, il doit y avoir 1 famille par classe de catho ; soit avoir à tout casser 8 familles qui vont à la messe régulièrement...
Elle a menti effrontément : ses enfants sont restés 6 mois dans une école publique du très chic 6ème où il n'y avait
aucun problème d'absentéisme donc ?
A chaque fois qu'elle retourne dans cette polémique elle s'enfonce d'avantage
Que fait l'Algérie pour intégrer les Français Catholiques?
Rien!
Répondez
"Stanislas est le meilleur établissement de France "???? Quand on ne sait pas de quoi on parle, on evite de se la ramener. Entre Henri IV, Louis Le Grand, Condorcet, La Fontaine et j'en passe, aucun n'est privé.
Informez vous sur la veracité ou le mensonge de ces justifications : Ce que vous feignez d'ignorer !
Oui, perso, je me saigne pour que mes enfants soient dans le privé.
Je suis assistante maternelle et divorcée avec un père qui verse une pension de façon trés épisodique.
etre ministre c'est comme etre influenceur ! faut s'attendre à des "grosses critiques publiques" car on s'expose!!! Parfois vaut mieux rester discret
Il sera temps de contrôle l'hémorragie😢 sans compter que plus tard ils nous reprocheront d'avoir kidnapper leurs élites.. de les avoir attiré pour empêcher leurs communautés de se développer 😂😂😂
58 ème sur 58 pays, ne tirons pas sur ce qui marche,et heureusement.....sinon,on coule....
Couvy dit "encore une fois" dans chaque phrase
Le privé, c'est très bien, mais pourquoi nos impôts doivent-ils le financer ?
Bonne question. Chacun devrait assumer ses choix.
L'école publique devrait déjà virer tous les profs islamo gauchiasse qui n'enseigne plus la France..ce n'est l'argent qui manque ni cette ministre qui pose problème c'est l'enseignement de tous ces profs véreux .oui il faut mettre vos enfants dans le priver pour avoir de vrais profs .tous ceux qui manifeste sont des non profs incapable d'enseigner .c'est eux qu'il faut commencer a foutre dehors pour redresser nos écoles ..
Une seule réponse, les résultats obtenus. Mais l’élitisme en France est un gros mot.
je vous rappelle que les parents qui mettent leurs enfants dans le privé PAIENT pour le public avec leurs impôts.
@@abfab7830 Excellente précision. Double peine donc !
En faisant passer un manque d'effectif pour de l'absentéisme, elle insulte tous les enseignants du public.
Elle fait reposer sur eux, la nullité de ses prédécesseurs, issus du même parti, appliquant les lubies du président.
C'est un mensonge, appuyé par le fait qu'elle a raconté une fable sur son gosse, comme si il était au collège ou au lycée, alors qu'il n'a fait que 6 mois de maternelle, dans le public.
Tout ça s'inscrit dans un racket qui consiste à ne pas mettre l'argent nécessaire dans l'école publique, et donc, à forcer ceux qui ont les moyens à payer deux fois, par leurs impôts et par le prix élevé du privé.
Le mépris de classe, qui consiste à ne pas mélanger ses enfants avec ceux des pauvres, n'est pas suffisant pour payer le racket de l'école privé. Donc, les riches forcent les classes moyennes à y entrer, en pourrissant l'école publique.
Le principe de base devrait être que si le public va mal ; le privé perd ses subventions, afin que le public soit remis à niveau.
On ne peut pas passer son temps à dire que les enseignants du public sont mal payés, qu'il faut revaloriser leurs salaires et rendre le privé plus compétitif que le public, en finançant un quart du salaire appliqué dans privé, par de l'argent publique.
La même somme consacré au public, le problème d'effectif est résolu et la profession revalorisée.
Les gamins, issus de milieux pauvres, sortent de l'école en étant employables. Il y a moins de misère, moins d'émeutes, plus de sécurité.
Mais non, le projet de la droite a été de supprimer 1 poste de fonctionnaire sur 2. Donc, en campagne, plus d'instituteur de classe unique, on ferme la dernière classe, on ferme l'école. Pas d'école, pas de médecin, pas de notaire, pas d'avocat, pas d'ingénieur...
Les CSP+. Direction la ville. Pas la ville moyenne, sans théatre, sans spectacle, sans multiplex,.. La ville-ville, mégalopole, au centre des quelles vivent les vrais riches. Comme cela, eux, peuvent avoir le choix de jeter les CSP+, d'en changer comme de chemise.
Ca fait des mégalopoles avec des dizaines de millions d'habitants, on peut y construire des projets de musée de fondation, y organiser des JO, y faire des tas de conn... pour le bien du portefeuille des riches.
Le pays est détruit. Mais le français moyen est content de faire un selfie avec un athlète de haut niveau, blessé, avec des tas de problèmes de santé, mais pancarte publicitaire, pour sponsors détruisant l'environnement, diffusant des messages de cohésion sociale, de bonne santé, de jeunesse et d'avenir souriant, totalement contraires au réel.
Alors j’ai faillit m’étouffer une paire de fois.
LE problème, car il n’y en a pas 50 dans le public est la notion d’enfant roi (merci Françoise Dolto).
Si on remet l’autorité au sein de l’école, comme ça l’est déjà dans le privé, il se passe quoi :
- les profs ne se cantonnent plus à faire de la discipline et donc se consacrent sur le cœur de leur métier, la transmission du savoir.
- comme il ne s’épuisent pas à tenir leur classe et ne sont plus menacés, il n’y a plus ou presque plus de droit de retrait, de burn out, etc… donc le problème d’effectif se résoudra de lui même, en grande partie.
- si le contexte de l’enseignant est serein et au nombre de jour travaillés, le salaire n’est pas si mauvais que cela. Rien n’interdit à un enseignant de faire du soutien rémunéré pendant les grandes vacances et donc de rentabiliser son principal « avantage », les vacances.
Je suis convaincu que si on remet de l’autorité à l’école, le reste suivra et le métier redeviendra attractif.
Donc commençons par faire comme dans les écoles privées au lieu de les critiquer pour le fait qu’elles coûtent cher. Ce qui en plus est en grande partie faux, si l’élève est brillant, il a des bourses et ne coute quasiment rien à ses parents, donc l’école privée réservée au riche, c’est une blague.
Maintenant, si l’élève est moyen voire mauvais, le tarif sera plein pot ou il sera carrément refusé.
Donc en copiant le privé :
- classe de niveau
- uniforme ou tenue stricte
- le prof représente l’autorité dans sa classe
- la hiérarchie est claire avec les parents d’élèves, si « bêtises » à répétition c’est dehors.
Une fois que j’ai dit ça, ce qui est une vue plutôt de droite, faut aussi faire avaler la pilule au mammouth de gauche et c’est bien ça le plus dur. 😅
L'heure syndicale est terminée taisez-vous. Je travaille dans deux collèges plutôt favorisés et l'absentéisme des professeurs est manifeste. Voilà le problème, les enseignants qui sont a 80% des enseignantes, ont toujours un prétexte pour ne pas venir faire cours. Des feignasses de profs à la con qui râlent en permanence.
@@Alix777.
J’ai été plus modéré en parlant de mammouth de gauche dans mon post 😂
@@alamical340 Il y a des centaines de milliers d'enseignants dans ce pays, pour plus d'une dizaine de millions d'élèves.
Ca paraît beaucoup, mais il se trouve qu'on enseigne plusieurs matières aux élèves et que plus on monte haut dans la formation, plus il y a de diversité d'enseignements pour moins d'élèves et plus les enseignants concilient leur enseignement avec d'autres tâches.
Il y a un système d'enseignants remplaçants, moins bien payés que des titulaires, qu'on laisse dans cette situation de faire moins d'heures pour moins les payer.
Il y a du personnel dédié aux enfants handicapés ou en décrochage.
Vous pensez réellement qu'il est sérieux de nous expliquer, qu'ils sont majoritairement tire-aux-flancs, et qu'un simple changement de doctrine éducative pourrait instantanément les transformer, en personnel assidu et motivé.
@@user-zb7wu2ue4l
C’est marrant de répondre à un post en prenant les dires des autres posts, celui qui à traiter de feignants les prof, ce n’est pas moi.
Moi je dis que l’éducation nationale est trop à gauche pour que quoi que ce soit change d’à,s ce que j’estime le point clé c’est à dire remettre l’élève à sa place d’apprenant et le maître à sa place de figure d’autorité et de sachant.
Pour le reste, je vous laisse à vos extrapolations syndicalistes qui n’ont rien à voir dans un débat d’idée car par principe les syndicat sont atteint de pensée magique et qu’il est donc impossible de débattre.