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Quand consent-on vraiment ?

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  • čas přidán 22. 03. 2021
  • Derrière l’aphorisme “céder n’est pas consentir", la frontière est plus floue qu’il n’y paraît, comme semble le souligner un certain nombre d'affaires rendues publiques depuis #MeToo, de V. Springora à C. Kouchner. C'est l'idée de notre invitée : Clotilde Leguil, psychanalyste et philosophe.
    Clotilde Leguil est psychanalyste et philosophe, professeure au département de psychanalyse de l’université Paris 8 Saint-Denis et membre de l’École de la cause freudienne. Après des essais comme "L’Être et le Genre, homme/femme après Lacan" et "Je , une traversée des identités" (Puf, 2015 et 2018), elle publie "Céder n'est pas consentir. Une approche clinique et politique du consentement" (PUF, 03/03/2021). Un essai inscrit dans l'actualité, qui part de prises de paroles permises notamment par le mouvement #MeToo, lequel a apporté les conditions de ce qu'elle nomme un "changement de siècle" : "Le Consentement" de Vanessa Springova et "La familia grande" de Camille Kouchner en ont émergé.

Komentáře • 9

  • @BlueEyesBrittany
    @BlueEyesBrittany Před 3 lety

    La question n'est pas seulement quand consent on vraiment mais aussi à quoi consentons nous vraiment ?

  • @Joe_from_Rio
    @Joe_from_Rio Před 3 lety +2

    Pour l'instant des scandales sexuels ont été révélés dans les médias, le cinéma, le sport, l'église, la politique et la famille. Quel sera le prochain milieu concerné ?

    • @julienfarbos
      @julienfarbos Před 3 lety

      Le milieu le plus concerné est probablement celui du ’’ français moyen ’’...
      (Le voisin, l’entraîneur de foot,de judo,etc, l’éducateur, le médecin ,la personne du quotidien.)
      Les ’’elites’’ ne sont que la partie emergée de cet iceberg monstrueux...

    • @cedricmaillet7967
      @cedricmaillet7967 Před 3 lety +1

      Le consentement n’est pas seulement lié au sexe. S’égosiller sur tous les torts c bien la justice c mieux

    • @museinnocente
      @museinnocente Před 2 lety

      L'édition et le milieu universitaire.

  • @missionlinguistiquefrancop6356

    Madame de France Culture. Annonçant le titre de l'ouvrage de votre invitée, vous prononcez "JEU" - très distinctement - au lieu de JE.
    C'est la plaie de Radio France : l'approximation dans les sons voyelles jusqu'à fausser le sens du propos. JE et DE se prononcent avec un son voyelle comme dans "peur" ou "beurre" / JEU et DEUX se prononcent avec un son voyelle comme dans "creux" ou "peu".
    Merci d'en prendre conscience, d'en prendre note, d'en prendre acte, bref d'en prendre soin ;-)

  • @nadiavoilavoila3683
    @nadiavoilavoila3683 Před 3 lety +3

    Euh....euh...euh...euh...euh...euh...euh...euh...
    La vidéo a peine commencé on a droit à 20 euh...euh...euh...euh...😅😨

  • @famicouteau
    @famicouteau Před 3 lety +11

    Excusez-moi, mais si vous n'êtes pas capable d'exprimer un refus à l'autre, c'est que vous êtes juridiquement incapables. La différence entre un adulte et un enfant, c'est justement de pouvoir comprendre si l'on consent et l'exprimer. Je ne vois pas en quoi dire non, lorsque l'on est un adulte possédant une raison, est quelque chose d'impossible à dire. Personne n'a jamais demandé avant un rapport si l'on pouvait le faire. C'est du non-dit.
    "J'ai mis son truc dans ma bouche et j'ai recommencé, mais j'ai été violée, vous ne pouvez pas comprendre. Il faut donc condamner cette immonde personne et surtout me donner des dommages et intérêts...."