Le pardon par Christophe André

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  • čas přidán 3. 07. 2018
  • Christophe André évoque le pardon.
    Un proverbe dit : "Pardonne aux autres non parce qu'ils méritent le pardon, mais parce que toi tu mérites la paix."
    Le ressentiment, la haine et le désir de vengeance sont une forme de souffrance supplémentaire pour qui a du mal à pardonner.
    L'agression ou l'offense n'arrive alors pas à devenir une souffrance passé mais reste une souffrance actuelle.
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  • Jak na to + styl

Komentáře • 34

  • @moniqueferraton3821
    @moniqueferraton3821 Před měsícem

    🙂 Merci Mr Christophe André 🙏

  • @placide6259
    @placide6259 Před rokem +5

    un autre pas vers le pardon sera de tenter de comprendre l'autre (...) Quand je comprends que l'autre m'a blessé, parce qu'il est lui-même un "enfant blessé", parce qu'il m'a transmis ses propres blessures, alors il n'a plus d'emprise sur moi.
    Tant je ne peux pas pardonner, je reste lié à l'autre. Le pardon me libère. Pour pardonner, il faut avoir atteint un équilibre suffisant. En même temps, le pardon conduit à la force, à la lucidité et à la liberté intérieure.
    Anselm Grün.

  • @Rucucul
    @Rucucul Před 11 měsíci +4

    Et comme il est dit dans la prière : « … pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensé… ». Avant ? Je me vengeais et effectivement c’est se mettre « une double peine ». Merci Monsieur Christophe 😊

  • @halimazniber6221
    @halimazniber6221 Před 3 lety +5

    Merci . Merci . Merci de nous aider a nous elever 🙏🙏🙏

  • @lucileartaud1762
    @lucileartaud1762 Před 2 lety +3

    Un grand merci à vous !

  • @cachou21
    @cachou21 Před 3 lety +10

    Ah cette vidéo je la regarde beaucoup en espérant l intégrée au fond de moi-même... le pardon est difficile en effet... merci Christophe André pour ces mots remplis de sagesse et de réconfort !

  • @micha74000
    @micha74000 Před 5 lety +13

    Cet homme a raison et vous ne pouvez pas imaginer combien pardonner fait du bien. Mais, chaque histoire est personnelle et chacun doit en trouver le propre chemin.

    • @mariadolorescano1385
      @mariadolorescano1385 Před 4 lety

      Merci à Christophe André bien sûr et à vous micha 74000 pour la justesse de vôtre commentaire.

  • @laurencelejeune9074
    @laurencelejeune9074 Před 5 lety +12

    Merci ! Quelle sérénité à vous écouter...

    • @laurencelejeune9074
      @laurencelejeune9074 Před 5 lety

      Personnellement, je n'éprouve pas le besoin de pardonner puisque je n'en veux pas aux personnes qui me blesse ou qui m'ont blessé, je suis touchée & cela me fait mal, alors je prie pour qu'elle trouvent la PAIX intérieure et pour que cela ne m'atteint plus... Être en PAIX avec SOI c'est ÊTRE en PAIX avec les AUTRES je pense.

  • @daliaazoulay5518
    @daliaazoulay5518 Před 4 lety +6

    MERCI de nous apprendre autant avec une didactique pleine de sérénité... extraordinaire ⚘

  • @philos9997
    @philos9997 Před 4 lety +10

    Oui, pardonner fait du bien. J'espère bien arriver à pardonner à certaines personnes. Pour moi, ce qui est le plus difficile c'est de pardonner à des personnes qui savent qu'elles m'ont blessées, et qui, parfois je le pense, l'ont fait volontairement, et qui ne s'excusent pas. Et aussi comment peut-on pardonner à des personnes si on n'est pas sûr qu'elles ne recommencent pas les mêmes choses que ce qu'elles nous ont fait et qui nous ont blessés ? En fait, j'aimerais apprendre à pardonner, parce que j'ai trop de colère et d'injustice enfouies en moi et depuis longtemps, et que j'ai l'impression que plus j'avance dans la vie, plus ça s'additionne. Je n'ai que 37 ans, mais comme j'ai été victime de harcèlement moral scolaire au collège puis à la fac, de la part de professeurs et d'élèves, et qu'il m'arrive encore aujourd'hui dans mon quotidien professionnel de me sentir harcelé moralement, j'ai l'impression parfois d'avoir été la cible de moqueries ou de harcèlement plus que n'importe quel quidam de 95 ans. Heureusement que mes parents et mes sœurs, et d'autres personnes de ma famille au sens plus large, m'apprécient.
    Et quand j'étais plus jeune, et que je voyais des élèves se foutre de moi en classe ou des profs dont j'étais le souffre-douleur, et que je ne disais rien, j'encaissais parce que j'étais introverti et timide, je ne répondais pas. Et les psychiatres que je vais voir depuis une vingtaine d'années ne m'ont jamais vraiment donné de tactiques de défense pour répondre à ce genre de harcèlement moral dont j'ai été victime. J'ai développé à cause de cela une agoraphobie, peur de me rendre dans des endroits publics et d'y faire des malaises, que j'analyse aujourd'hui comme étant une réaction physique et psychique par rapport au harcèlement moral que j'ai subi sans pouvoir y répondre. Et j'ai enfoui ce genre de colère depuis des années, du coup, maintenant quand je me sens malmené, je réagis un peu trop agressivement. Et ça me fait du mal aussi à moi-même. C'est pour cela que j'aimerais bien apprendre à pardonner, et ce surtout aux gens qui ne se sont jamais excusés de m'avoir blessés. En cela, je vous remercie pour votre vidéo.

    • @justindagame9516
      @justindagame9516 Před 4 lety +4

      Salut. J'ai 3 mois de retard sur ton commentaire, mais je ne suis pas arrivé ici par hasard. Pardonner à ceux qui regrettent, oui. Pardonner à ceux qui ne regrettent pas, je te le déconseille.
      Ton histoire, je l'ai vécue avec des divergences : ma famille était ausi contre moi, jamais écouté, jamais pris au sérieux, jusqu'à ce que l'on me retrouve étalé par terre après 1 heure d'absence entre le chemin de la maison et celui de l'école...
      On m'a mis au judo, parce qu'à l'époque, on ne pouvait pas pratiquer le karaté avant d'avoir 10 ans. J'ai subi des abus de la part des sales gosses de merde qui avaient quelques ceintures de plus que moi, débutant. J'ai failli me faire casser le bras et étrangler jusqu'au coma momentané. Donc arrêté le judo.
      C'était l'époque des films de bruce lee, alors j'ai appris seul, et mal appris, comme mes autres copains fans de ses films. On s'est blessés, mais on a progressivement fait en sorte de ne plus se laisser agresser.
      J'ai aussi subi beaucoup trop de choses à titre de victime, pour cause de ma gentillesse égalemetn dans le domaine des relations amoureuses. Des humiliations, des manques de respect et des agressions caractérisées.
      Aujourd'hui, c'est très différent à une exception près : je n'ai toujours pas cassé la gueule à mes vosins qui sont une prostituée-non-professionnelle et ses amants et amantes, depuis 7 ans.
      Ne tends pas la joue indéfiniment.
      Ne te laisses pas marcher dessus indéfiniment.
      Le respect, c'est une valeur que je défends avec ferveur. Mais quand les autres baffouent le tien en permanence, il faut faire le nécessaire. Tout ce qui est légal. Mais la loi est faite par des humains et a souvent 20 ans de retard. Alors si la loi est trop éloignée de la réalité, il faut passer par d'autres méthodes. Ça te salira, ça pourrira la situation et ça risque même de passer à un autre niveau. Mais tant qu'on ne comprendra pas qu'il faut te respecter en toute légitimité, ça méritera des piqûres de rappel aussi douloureuses qu'il le faudra.
      Ceci dit, avant que tu ne te fasses une fausse image de moi :
      1 / je suis chrétien, et convaincu. Je résiste beaucoup à cause de ma foi. A cause de l'espoir que les autres évoluent et que le dialogue, associé à la prière personnelle, suffisent à faire évoluer les situations.
      2/ J'ai aussi travaillé, bien évidemment de mon propre choix, dans des emplois en uniforme... c'est pas le pouvoir qui me manquait, mais la gentillesse qui en a sauvé plus d'un. Certain-e-s s'en sont ensuite repentis, d'autres toujours pas. Je ne pardonne pas à ces derniers, je les retiens pour le jour du jugement, devant dieu.
      3/ Je suis devenu, autant dans le civil que dans le militaire, instructeur en combat. Pour enseigner aux autres à se défendre, plutôt que pour la soif de la violence. Mais rien ni personne n'a d'excuse valable pour violer une femme ou se faire péter avec une bombe en pleine foule. Aussi, ceux-là, ils n'ont aucune pitié de ma part, et si je suis là à ce moment-là, je n'ai pas de retenue tant qu'ils ne sont pas hors d'état de nuire encore.
      Oh et.. pour ta gouverne, j'ai 46 ans.
      Méfies-toi des vieux.. ils pourraient avoir vécu bien plus d'injustices que toi ;-)
      Saches une chose : les humains sont comme des voitures.
      Certaines voitures de modeste apparence roulent avec prudence et respectent les droits des autres, d'autres voitures de luxe sont conduites par des fils de pute dégénérés et invétérés.
      Les corps , statuts sociaux, etc.. ne sont pas la personne. La personne, c'est l'âme qu'elle a, c'est ÇA, sa nature réelle.
      Ne te fies ni aux titres, ni aux apparences.
      Bonne continuation à toi .

    • @philos9997
      @philos9997 Před 4 lety +4

      @@justindagame9516 Merci pour votre commentaire. En fait, j'ai fait une déprime en 2005, à l'âge de 23 ans. J'avais vécu une adolescence difficile : Scoliose de 18°, corset. ça, je l'ai bien géré. Ma soeur aînée s'était faite opérer d'une scoliose plus douloureuse de 40° en 1991, quand j'avais 9 ans. Mais bon, j'avais un corset pour cette scoliose entre 12 ans et 17 ans, entre 1994 et 1999. Pour moi, cela permettait d'éviter que ma scoliose ne prenne plus d'importance donc j'ai pris mon mal en patience pendant 5 ans, mais j'ai vécu cela courageusement. Cependant, dans les années 90, c'était encore difficile pour certains camarades de collège de me voir avec un corset, parce que la plupart n'en avaient jamais vus. Et comme j'étais timide, je me faisais d'autant plus moquer de moi, du genre "Pourquoi t'as un dos en plastique ?".
      J'étais au lycée quand on m'a enlevé mon corset. Donc, au lycée, à part la deuxième année de seconde où un de mes camarades se foutait de ma gueule, ce à quoi j'ai mis fin en organisant un rendez-vous entre mon père, lui et ses parents. A la suite de cela, il a arrêté de se moquer de moi, mais aussi les autres camarades de classe car il était le meneur. Mais ensuite, j'étais en 1ère et en Terminales Littéraires avec d'autres camarades de classe qui s'intéressaient aux mêmes choses que moi, donc ça passait. Mais, déjà victime d'agoraphobie, je sortais très peu en dehors du lycée.
      En 2002, je rate mon bac pour une bouchée de pain. En 2003, je le réussis après une seconde année de Terminales que j'avais dû interrompre en janvier pour cause de fatigue. J'avais 21 ans, je voulais faire des études de lettres à Nantes, mais toujours agoraphobe, j'ai préféré rester en Vendée, chez mes parents, et faire des études de LEA (Langues Etrangères Appliquées) mais hélas Appliquées au commerce. Moi qui avais arrêté toutes études de matières scientifiques en 1ère, j'ai dû reprendre l'économie, la comptabilité. Mais en plus de ces études qui ne me convenaient pas je suis retombé sur des mecs qui se foutaient déjà de moi au collège, et qui, bien qu'ayant maintenant une vingtaine d'années et étant titulaires du Bac, n'avaient absolument pas changé de mentalité !
      J'ai redoublé ma 1ère année de LEA. Durant mon année de redoublement, cela allait encore moins bien. J'ai dû changer de psychiatre. Et au printemps 2005, j'ai rencontré un nouveau psychiatre absolument pas sympa qui, à l'été 2005, alors que je n'allais pas bien du tout parce que je ne sortais plus de chez moi et étais complètement en plein doute sur mon avenir, m'a donné un médicament qui ne m'a pas convenu. Et j'ai donc été hospitalisé en HP à la fin de l'été 2005, attaché dans un lit avec contention. Je suis resté trois semaines en hospitalisation complète, puis ensuite pendant 6 ans en hospitalisation de jour. Heureusement, dès le mois d'octobre 2005 quand je suis revenu chez mes parents, je me suis dit "Plus jamais ça", et je me suis forcé à sortir de chez moi tous les jours.
      J'avais cette fois le bon traitement. Durant les 6 années qui ont suivi, j'ai heureusement fait d'énormes progrès sur mon agoraphobie et au niveau social. J'ai même fait du sport en salles de gymnastique à partir de janvier 2009 et j'en fais toujours aujourd'hui. Mais surtout l'année 2010 a constitué un excellent millésime pour moi, car par le hasard des choses, j'ai pu rentrer dans une radio associative et rédiger, enregistrer, puis ensuite, au fil des années monter mes propres chroniques radio sur la chanson française.
      La chanson française est ma passion depuis ma plus tendre enfance, j'ai de nombreux vinyles (Surtout 45 tours), j'adore chanter et j'ai fait du piano entre l'âge de 6 ans et de 22 ans (de 1988 à 2004). Donc, j'ai pu parler de ma passion avec un maximum de liberté, en choisissant moi-même les artistes, les chansons dont je voulais parler dans mes chroniques. Je fais toujours cette chronique dix ans plus tard.
      En fait, avoir vécu cette expérience très douloureuse de septembre 2005 m'a permis, je le sens aujourd'hui, d'avoir plus de force de caractère, car je ne veux absolument plus la revivre cette expérience. Donc maintenant, quand je sens que quelqu'un cherche à me manquer de respect, je ne garde plus mes sentiments et ma colère pour moi comme je le faisais durant ma scolarité, mais je réponds. Parfois, trop agressivement au niveau verbal seulement. Jamais physiquement. Je me laisse beaucoup moins faire. Mais parfois, cela me cause aussi du tort, et je passe trop de temps à ruminer mes rancoeurs, mes colères auprès de personnes qui, je le trouve, m'ont manqué de respect, et ça ne me fait pas de bien non plus. C'est pour cela aussi que j'aimerais apprendre à prendre de la distance avec mes rancoeurs et mes colères, et à pardonner à ces personnes. Car ressasser, ruminer mes colères m'est néfaste, ce n'est absolument pas constructif.
      Le harcèlement moral que j'ai vécu dans les années 90 et dans les années 2000 serait autrement pris en compte s'il avait lieu aujourd'hui. A cette époque (Pourtant pas si lointaine voire très proche encore), le harcèlement moral n'était pas une cause nationale. On savait très bien que beaucoup d'élèves se faisaient foutre d'eux, mais c'était totalement sous-estimé. Même ma psy que j'allais voir pendant mes années de collège me disait à propos de ceux qui se moquaient de moi : "Vous n'avez qu'à leur répondre d'arrêter de se moquer de vous.". Ce n'était pas facile à faire, et je ne l'ai pas fait, parce que je pense que cela aurait été bien inutile.
      Aujourd'hui, la France a changé son regard sur ce fléau. C'est devenu une cause nationale. Et quand j'entends une chanson récente d'un des rares artistes de la jeune chanson variété française actuelle que j'apprécie : Claudio Capéo, "Ma jolie" qui traite de ce sujet, je suis très ému. Mais les psychiatres actuels ne savent toujours pas comment régler les causes et les conséquences des gens qui ont été victimes de moqueries en classe, d'autant moins quand c'était il y a une vingtaine d'années comme c'est mon cas. A chaque fois que je parle de ça, on me répond de me concentrer sur le présent ! D'accord, mais mon présent est encore un peu entaché par ce que j'ai vécu. Par exemple, je n'aime toujours pas me rendre au cinéma ou dans les supermarchés à cause de mon agoraphobie, qui a certes réduit, mais n'est pas disparue, appréhension qu'on se foute de moi en public.
      Aujourd'hui, je souhaiterais même m'engager contre le harcèlement moral scolaire. A mon époque au moins, il n'y avait pas les réseaux sociaux qu'il y a aujourd'hui. J'espère sincèrement que les psychiatres vont apprendre à mieux soigner les gens qui ont été victimes de cela il y a longtemps et en portent encore les stigmates aujourd'hui, et qu'à force de combat, on va réussir à ce que chaque élève puisse aller en classe sans avoir la crainte d'être harcelé, rejeté par ses camarades.

    • @joellejouve8638
      @joellejouve8638 Před 4 dny

      4:39

    • @philos9997
      @philos9997 Před 4 dny

      @@joellejouve8638 ?

  • @Nomdecodezero
    @Nomdecodezero Před 2 lety +1

    merci!

  • @serinitiama7414
    @serinitiama7414 Před 5 měsíci

    Merci, pour l'explication du pardon, vraiment pas facile.. à perdre de l'énergie à ruminer je préfère commencer le pardon, comprendre le pourquoi ?, et les bénir, et me liberer❤

  • @Katymontewy
    @Katymontewy Před 3 lety +5

    C'est le seul chemin....qui mène à une totale libération . Nous retrouvons le plein bonheur ! ❤

  • @AllenDiese3
    @AllenDiese3 Před 3 lety +1

    Merci Dr.

  • @francoisesacquet2164
    @francoisesacquet2164 Před rokem

    Merci !!!

  • @daliaazoulay5518
    @daliaazoulay5518 Před 4 lety +4

    Infiniment MERCI ⚘

  • @nicolasp7665
    @nicolasp7665 Před 3 lety +4

    Le pardon est facile quand on connait ce qui anime celui ou ceux qui nous atteignent. Comprendre que l’inconscient est dominateur (Freud), qu'ils ne savent pas ce qu'ils font (le Christ), qu'un être n'a pas d'autre raison d'être que d'être (Laborit) Qu'il faut aimer son ennemi et le plaindre.

  • @Amelie-fb6vu
    @Amelie-fb6vu Před 3 lety +1

    ❤️

  • @eloimumford5247
    @eloimumford5247 Před 6 měsíci

    Un concept qui tombe a point , j'ai une réunion ou je dois recevoir les excuses d'un harceleur psychologique. Comment savoir si la personne est sincere ou obligée par la direction ?

  • @leilaizer5777
    @leilaizer5777 Před rokem

    Amen !. Pardonner est vital. Soyez béni ❤

  • @vinceleretrogameur6298
    @vinceleretrogameur6298 Před 2 lety +3

    Moi je suis désolé mais moi je ne pardonne pas

  • @bernardjacob3118
    @bernardjacob3118 Před 2 lety

    Ouais, vas dire ça Adolf !
    12 millions de civils, j'ai très dur !

  • @ysabell.9281
    @ysabell.9281 Před 11 měsíci

    Si c'était aussi facile, ça ne changerait rien. Je ne vis pas un monde de Bisounours

  • @audreyv8247
    @audreyv8247 Před 4 lety +2

    Lol mais pardonner, n'est ce pas se soumettre encore une fois. Comment peut on parler de pardon, ou de dire de pardonner auprès de personnes qui nous ont blessés ds notre chair. Il y a des actes, c'est impardonnable. La question est plutôt, comment réussir à se reconstruire après d'énormes traumatismes, et comment récupérer son intégrité et sa dignité, une fois que ça été sali? Comment avancer ds la vie avec cela. Le pardon lol. Le pardon, c'est presque faire comme si la douleur a été minime, et qu'elle n'existe pas.

    • @justindagame9516
      @justindagame9516 Před 4 lety +4

      Je suis d'accord avec toi.
      Le pardon n'est en rien l'excuse d'un crime. Ce n'est pas non-plus ce qui éliminera l'acte commis. Ce qui est fait est fait. Le pardon, c'est possible lorsque l'on a soi-même sublimé les événements, ou compris, sans excuser, les motivations de ceux qui nous ont agressé.
      En aucun cas, pardonne ne signifie inviter à recommencer !
      C'est plutôt toi qui fais preuve d'une bien plus grande dignité que tes agresseurs, toi qui remets le jugement de leurs actes à celui qui jugera tout, au-delà de la mort. Là, il n'y aura ni avocat pourri, ni justice déficiente, ni aucune sorte d'échappatoire pour ces auteurs.
      Quant à toi :
      ta valeur ne diminue PAS parce que l'on t'a agressée. Bien au contraire, y avoir survécu, et avoir décidé d'aller de l'avant est déjà tout à ton honneur. Il y a des gens qui (et je ne les accuse pas) mettent fin à leurs jours à cause de tels actes, et c'est faire gagner 2x les agresseurs... même sachant que jugement de leurs actes il y aura, la personne qui fait cela s'empêche de vivre d'autres moments hautement plus qualitatifs et légitimes, qui sont notre destinée à tous, en tant qu'Êtres humains.
      Mais les pourris existent. Je ne pardonne pas à ceux qui savaient ce qu'ils faisaient. Je peux pardonner à ceux qui ne réalisaient pas la portée de leurs actes. Suivant les conséquences que cela aura eut.
      Rappelles-toi que si tu trouves un billet de 1000 € tout froissé dans une flaque vaseuse, il vaut toujours 1000 € . Il faut juste le nettoyer un peu. Pas grave si l'on voit les plis, ça le rend unique.
      Pour nous, c'est pareil : te reconstruire c'est déjà accomplir une partie de la revanche contre cette agression. Vous m'avez brisé ? Regardez, je suis devenu encore plus fort. Vous ne pourrez plus le faire.

    • @Madame2107
      @Madame2107 Před 3 lety +2

      @@justindagame9516 belle idee ,merci a toi pour ce texte

  • @Shanti-Das
    @Shanti-Das Před rokem +5

    TROP SIMPLE : Il n'est pas facile de cerner une notion comme le "pardon" en 4 minutes et demie. En tout cas, il est trop simple de laisser croire que la psychologie est dichotomique, en noir et blanc, avec d'un côté le "pardon", et de l'autre "le ressentiment, la haine, le désir de vengeance". Entre ces 2 pôles existe un espace que peuvent remplir la mémoire (qui n'est pas la rancune), l'attente (qui est respect de l'autre : peut-être prendra-t-il conscience de sa faute et du mal qu'il a commis)... On peut concevoir que le pardon puisse s'accorder si l'agresseur demande le pardon. S'il ne demande rien, pardonner revient à banaliser la violence et encourager la récidive. Le thème mériterait donc d'être mieux analysé, me semble-t-il.