C'est une séparation douloureuse. Je dis douloureuse car elle se fait dans le silence. J'ai toujours pensé que l'inverse de l'amour c'était la haine mais non, son inverse c'est l'indifférence et ce poème de Prévert le démontre habilement. On a d'un côté quelqu'un qui subit l'indifférence et l'autre ne voit plus ou ne veut plus voir l'autre... Merci pour ce moment. Bonne journée à vous :)
Merci Thomas et merci Jacques Prevert. Un peu « comme d’habitude » (la chanson), mais c’est pas forcément ici une habitude, c’est simplement que « je » suis transparente pour l’autre… « je » l’observe, j’attends un mot, un regard, un geste…? Ce sont des mots simples, qui me font penser à la chanson de Léo Ferré qui se termine par « alors avec le temps, on n’aime plus… »
Émouvant, profond, touchant
Merci Thomas pour ce beau moment 😊
C'est une séparation douloureuse. Je dis douloureuse car elle se fait dans le silence. J'ai toujours pensé que l'inverse de l'amour c'était la haine mais non, son inverse c'est l'indifférence et ce poème de Prévert le démontre habilement. On a d'un côté quelqu'un qui subit l'indifférence et l'autre ne voit plus ou ne veut plus voir l'autre...
Merci pour ce moment.
Bonne journée à vous :)
Merci.
« habilement », oui ! C’est tellement difficile d’exprimer cela dans un poème si court et avec une telle sobriété.
J’aime Prévert :)
Tout commentaire est superflue ... ah mince !
superflu ? Non, n’hésitez pas si vous avez envie !
Et merci pour vos mercis :)
Merci Thomas et merci Jacques Prevert.
Un peu « comme d’habitude » (la chanson), mais c’est pas forcément ici une habitude, c’est simplement que « je » suis transparente pour l’autre… « je » l’observe, j’attends un mot, un regard, un geste…?
Ce sont des mots simples, qui me font penser à la chanson de Léo Ferré qui se termine par « alors avec le temps, on n’aime plus… »
Oui j ai penser à ça direct 😊 moi aussi
J’aime votre … rapproché avec Ferré :)
Comme d'habituuuudeuuu ( version Claude François )
Ah ah ah :)