énigmatique et inoubliable Barbara...si belle et si gracieuse ...chacune de ses sublimes chansons nous interpellent nous interrogent et nous emportent ...la justesse de ses mots m'ont marqué à vie au fer rouge....
Dans les paniers d'osier de la salle des ventes Une gloire déchue des folles années trente Avait mis aux enchères, parmi quelques brocantes Un vieux bijou donné par quel amour d'antan Elle était là, figée, superbe et déchirante Ses mains qui se nouaient, se dénouaient tremblantes Des mains belles encore, déformées, les doigts nus Comme sont nus, parfois, les arbres en Novembre Comme tous les matins, dans la salle des ventes Bourdonnait une foule, fiévreuse et impatiente Ceux qui, pour quelques sous, rachètent pour les vendre Les trésors fabuleux d'un passé qui n'est plus Dans ce vieux lit cassé, en bois de palissandre Que d'ombres enlacées, ont rêvé à s'attendre Les choses ont leurs secrets, les choses ont leurs légendes Mais les choses nous parlent si nous savons entendre Le marteau se leva, dans la salle des ventes Une fois, puis deux fois, alors, dans le silence Elle cria: "Je prends, je rachète tout ça Ce que vous vendez là, c'est mon passé à moi" C'était trop tard, déjà, dans la salle des ventes Le marteau retomba sur sa voix suppliante Elle vit s'en aller, parmi quelques brocantes Le dernier souvenir de ses amours d'antan Près des paniers d'osier, dans la salle des ventes Une femme pleurait ses folles années trente Et revoyait soudain défiler son passé Défiler son passé, défiler son passé Car venait de surgir, du fond de sa mémoire Du fond de sa mémoire, un visage oublié Une image chérie, du fond de sa mémoire Son seul amour de femme, son seul amour de femme Hagarde, elle sortit de la salle des ventes Froissant quelques billets, dedans ses main tremblantes Froissant quelques billets, du bout de ses doigts nus Quelques billets froissés, pour un passé perdu Hagarde, elle sortit de la salle des ventes Je la vis s'éloigner, courbée et déchirante De ses amours d'antan, rien ne lui restait plus Pas même ce souvenir, aujourd'hui disparu
Mil gracias por estos videos sbtitulados, me han permitido apreciar mejor el trabajo de esta gran artista, afortunados los que comprenden la lengua francesa, ¡qué esplendida compositora, qué gran voz, qué fascinante personalidad!
Et cette sublime et émouvante chanson a prédit ce qui allait arriver à Barbara : après son décès un bon nombre de ses effets personnels furent vendus aux enchères publiques....Quelle tristesse ! Comment ceux qui ont fait (ou laissé faire) un acte aussi abject peuvent ils dormir tranquilles ? Il y a de quoi avoir honte pour eux...
Y esta cancion tambièn la han traducida Alej ! O Barbara. "Les choses nous parlent si nous savons entendre"... Tant d'amours mortes enfouies dans les mémoires et comme des réminiscences en synesthésies réveillées par ce phénomène si étrange qu'est la mémoire. Une odeur, parfois, comme une douleur...
Ja i embrasse ta main a pantin en 81 En te te disant madame on vous aime tellement . Ton regard ton regard ta voix qui m.a dit : moi aussi ! je m en souviens 30 ans apres . Je taime barbara
une des plus belles parmi les plus belles...
énigmatique et inoubliable Barbara...si belle et si gracieuse ...chacune de ses sublimes chansons nous interpellent nous interrogent et nous emportent ...la justesse de ses mots m'ont marqué à vie au fer rouge....
Sublime Barbara.
Tu nous manques tellement!
Barbara, ma chanteuse adorée...
Qu'elle soit bien là où elle se trouve !
Belo Horizonte Brésil
quelle émotion de la revoir et de l'entendre chanter cette magnifique chanson ...
Pour moi sa plus belle chanson, même si n'en choisir qu'une seule est quasi impossible.
Merci merci pour la longue dame brune
Dans les paniers d'osier de la salle des ventes
Une gloire déchue des folles années trente
Avait mis aux enchères, parmi quelques brocantes
Un vieux bijou donné par quel amour d'antan
Elle était là, figée, superbe et déchirante
Ses mains qui se nouaient, se dénouaient tremblantes
Des mains belles encore, déformées, les doigts nus
Comme sont nus, parfois, les arbres en Novembre
Comme tous les matins, dans la salle des ventes
Bourdonnait une foule, fiévreuse et impatiente
Ceux qui, pour quelques sous, rachètent pour les vendre
Les trésors fabuleux d'un passé qui n'est plus
Dans ce vieux lit cassé, en bois de palissandre
Que d'ombres enlacées, ont rêvé à s'attendre
Les choses ont leurs secrets, les choses ont leurs légendes
Mais les choses nous parlent si nous savons entendre
Le marteau se leva, dans la salle des ventes
Une fois, puis deux fois, alors, dans le silence
Elle cria: "Je prends, je rachète tout ça
Ce que vous vendez là, c'est mon passé à moi"
C'était trop tard, déjà, dans la salle des ventes
Le marteau retomba sur sa voix suppliante
Elle vit s'en aller, parmi quelques brocantes
Le dernier souvenir de ses amours d'antan
Près des paniers d'osier, dans la salle des ventes
Une femme pleurait ses folles années trente
Et revoyait soudain défiler son passé
Défiler son passé, défiler son passé
Car venait de surgir, du fond de sa mémoire
Du fond de sa mémoire, un visage oublié
Une image chérie, du fond de sa mémoire
Son seul amour de femme, son seul amour de femme
Hagarde, elle sortit de la salle des ventes
Froissant quelques billets, dedans ses main tremblantes
Froissant quelques billets, du bout de ses doigts nus
Quelques billets froissés, pour un passé perdu
Hagarde, elle sortit de la salle des ventes
Je la vis s'éloigner, courbée et déchirante
De ses amours d'antan, rien ne lui restait plus
Pas même ce souvenir, aujourd'hui disparu
Quelle beaute... Parfaite Barbara! Merci.
Quelle belle émotion..merci Barbara..
Merci mil veces! que bien interpreta! mágica
Mil gracias por estos videos sbtitulados, me han permitido apreciar mejor el trabajo de esta gran artista, afortunados los que comprenden la lengua francesa, ¡qué esplendida compositora, qué gran voz, qué fascinante personalidad!
j'adore😍
Et cette sublime et émouvante chanson a prédit ce qui allait arriver à Barbara : après son décès un bon nombre de ses effets personnels furent vendus aux enchères publiques....Quelle tristesse ! Comment ceux qui ont fait (ou laissé faire) un acte aussi abject peuvent ils dormir tranquilles ? Il y a de quoi avoir honte pour eux...
Qué suerte poder haberla visto. Gracias a ti.
Sublime.
Tienes razón!. Gracias por el aporte.
Merci!
merci
BON NÓËL...
Gracias!!
Y esta cancion tambièn la han traducida Alej ! O Barbara. "Les choses nous parlent si nous savons entendre"... Tant d'amours mortes enfouies dans les mémoires et comme des réminiscences en synesthésies réveillées par ce phénomène si étrange qu'est la mémoire. Une odeur, parfois, comme une douleur...
Ja i embrasse ta main a pantin en 81
En te te disant madame on vous aime tellement . Ton regard ton regard ta voix qui m.a dit : moi aussi !
je m en souviens 30 ans apres .
Je taime barbara
merci!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Je dédie cette chanson a mes Grands Parents.
Brassens l'appelait "la prêtresse noire" d'un ton moqueur lui qui n'avait pas le millionième de son talent. Très grande dame de la chanson
C'est de la merde
merci
merci
merci