Grand Seigneur de Nina Bouraoui
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- čas přidán 27. 02. 2024
- Rencontre animée par Marie-Madeleine Rigopoulos
« Je ne sais pas ce que déclenche la mort d’un père, je ne sais pas si je vais me briser, me tordre ou grandir, m’élever. Je sais que je vais devenir une autre personne, j’espère être meilleure, progresser, j’espère ne jamais perdre ma douceur et mon étonnement sur le monde, j’espère que je saurai remplacer ce qui va désormais me manquer. (…) Il y aura une force nouvelle et inconnue parce que je ne veux pas tomber. »
Face à la douleur, Nina Bouraoui se tourne vers l’écriture, et mêle la vie de son père à la sienne. Tous les souvenirs reviennent de Paris à Alger, un art de jouer et d’aimer, une façon de vivre et d’observer. Nina Bouraoui raconte ce grand seigneur à l’existence hautement romanesque, et imagine les secrets qu’il emporte. C’est le bouleversant récit d’une perte et d’un rendez-vous par la mémoire et l’amour.
À lire - Nina Bouraoui, Grand Seigneur et Le désir d’un roman sans fin, J.C. Lattès 2024. - Zábava
Trés belle interview intime et vraie.
Nina en toute intimité, un récit douloureux sur la perte de son père avec une bienveillance et une douceur comme toujours.
Son père, son héros, son algérien forcé à l'exil
Nina, je sais qu'un jour, tu rendras visite à ton pays, à tes racines.
Mes meilleurs Salutations d'Alger 🇩🇿
Mais bon dieu arrêtez de dire que votre père est kabyle vous n'avez pas le droit de dire ça car c'est archi faux,bouraoui rachid me parle qu'en arabe crois moi je n'ai rien compris pourquoi vous insistez sur ce mensonge,les bouraoui n'ont rien de kabyle.
Kabyle a une connotation moins pejorative qu arabe....ca vient de la colonisation