MERCI infiniment pour ce partage. Ce sujet n'est pas assez diffusé auprès des femmes. Je ne suis pas encore concernée. Un projet à venir...Vous avez mon soutien pour votre chaîne 👍🏼🤰😘
Merci pour cette vidéo. Je viens tout juste de la débuter et je peine à comprendre le pourquoi ne pas écouter les récits des autres personnes ? Même si ils sont traumatiques ou pas complètement positifs justement ils peuvent être très intéressants à entendre afin d'avoir des connaissances sur certaines pratiques par exemple, afin de savoir ce qui pour certaines les à empêchées d'être dans leur bulle si ça nous parle aussi, afin de savoir en faite. Écouter et se nourrir des récits d'accouchements d'autres femmes est une vraie éducation à la naissance, que ce soit des beaux récits comme des récits plus difficiles. Je pense qu'il ne faut pas fermer la porte au négatif et faire comme si il n'existait pas comme on aime bien le faire dans notre société. Mettons des œillères et tout va mieux? Non. Je crois que c'est une erreur. Et je crois qu'il faut justement être en capacité de se confronter à ces récits et à toutes ces histoires pour aborder au mieux sa propre histoire. Qu'il faut connaître tout le positif que l'accouchement peut nous procurer, comme toute ma violence qu'il peut en ressortir aussi. Et de par ces connaissances faire son propre cheminement en totale connaissance de cause ! Et que sans ça, il est difficile de faire des choix en conscience non? Voilà je souhaitais juste réagir là dessus
Merci pour ton retour et ta question pertinente! Et bienvenue dans ce beau voyage. Je suis 100% d'accord avec toi lorsque tu dis qu'il faut avoir des connaissances sur certaines pratiques, etc. venant de récits négatifs voire traumatiques. Maintenant je suis persuadée qu'il y a une différence entre être informée de ces choses en tant que faits (exemple: une césarienne d'urgence peut se passer car il y a une cascade d'intervention en commençant par un déclenchement, puis de l'ocytocine de synthèse puis une péridurale, et tout ça = détresse foetale donc "urgence" ou bien une hémorragie de la délivrance car les récepteurs d'ocytocine naturels ne marchent plus aussi bien à cause du déclenchement, de l'accélération du travail, du manque d'intimité, du manque de peau à peau avec son bébé, etc.) et être informée à travers des récits traumatiques. Dans un cas on est informée, dans l'autre le subconscient se dit "si c'est arrivé pour elle, ça peut m'arriver à moi aussi", surtout en période de grossesse, lorsqu'on est plus sensible. Ici je parle vraiment de ne pas les écouter quand on est enceinte, on peut les écouter avant pour s'informer bien sûr. Par expérience, je sais que ça peut apporter beaucoup d'anxiété à une femme qui doit accoucher quelques mois plus tard. Après ce n'est que mon avis, à prendre ce qui fait sens pour toi et laisser le reste :)
MERCI infiniment pour ce partage. Ce sujet n'est pas assez diffusé auprès des femmes. Je ne suis pas encore concernée. Un projet à venir...Vous avez mon soutien pour votre chaîne 👍🏼🤰😘
Merci beaucoup pour ces encouragements et plein de bonnes ondes pour le projet bébé 🥰
Merci pour cette vidéo.
Je viens tout juste de la débuter et je peine à comprendre le pourquoi ne pas écouter les récits des autres personnes ? Même si ils sont traumatiques ou pas complètement positifs justement ils peuvent être très intéressants à entendre afin d'avoir des connaissances sur certaines pratiques par exemple, afin de savoir ce qui pour certaines les à empêchées d'être dans leur bulle si ça nous parle aussi, afin de savoir en faite. Écouter et se nourrir des récits d'accouchements d'autres femmes est une vraie éducation à la naissance, que ce soit des beaux récits comme des récits plus difficiles. Je pense qu'il ne faut pas fermer la porte au négatif et faire comme si il n'existait pas comme on aime bien le faire dans notre société. Mettons des œillères et tout va mieux? Non. Je crois que c'est une erreur. Et je crois qu'il faut justement être en capacité de se confronter à ces récits et à toutes ces histoires pour aborder au mieux sa propre histoire. Qu'il faut connaître tout le positif que l'accouchement peut nous procurer, comme toute ma violence qu'il peut en ressortir aussi. Et de par ces connaissances faire son propre cheminement en totale connaissance de cause ! Et que sans ça, il est difficile de faire des choix en conscience non? Voilà je souhaitais juste réagir là dessus
Merci pour ton retour et ta question pertinente! Et bienvenue dans ce beau voyage. Je suis 100% d'accord avec toi lorsque tu dis qu'il faut avoir des connaissances sur certaines pratiques, etc. venant de récits négatifs voire traumatiques. Maintenant je suis persuadée qu'il y a une différence entre être informée de ces choses en tant que faits (exemple: une césarienne d'urgence peut se passer car il y a une cascade d'intervention en commençant par un déclenchement, puis de l'ocytocine de synthèse puis une péridurale, et tout ça = détresse foetale donc "urgence" ou bien une hémorragie de la délivrance car les récepteurs d'ocytocine naturels ne marchent plus aussi bien à cause du déclenchement, de l'accélération du travail, du manque d'intimité, du manque de peau à peau avec son bébé, etc.) et être informée à travers des récits traumatiques. Dans un cas on est informée, dans l'autre le subconscient se dit "si c'est arrivé pour elle, ça peut m'arriver à moi aussi", surtout en période de grossesse, lorsqu'on est plus sensible.
Ici je parle vraiment de ne pas les écouter quand on est enceinte, on peut les écouter avant pour s'informer bien sûr. Par expérience, je sais que ça peut apporter beaucoup d'anxiété à une femme qui doit accoucher quelques mois plus tard. Après ce n'est que mon avis, à prendre ce qui fait sens pour toi et laisser le reste :)