Jean-Baptiste Andrea, prix Goncourt 2023 : "L'art est ce qu'il y a entre les chemins balisés"
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- čas přidán 7. 11. 2023
- Jean-Baptiste Andrea vient de remporter le très couru prix Goncourt pour "Veiller sur elle", son quatrième roman, qui parcourt tout le XXe siècle italien à travers la figure d'un homme, Mimo. Amour impossible, amour tout court, histoire, l'écrivain, au micro de Géraldine Mosna-Savoye, parle de son roman... et de l'aventure Goncourt !
Photo de la vignette : Joël Saget/AFP
#litterature #goncourt #roman
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Un entretien vraiment intéressant ❤❤
J'ai très envie, maintenant, d'en découvrir davantage en lisant l'ouvrage 😊
Félicitations...
Ça va, ils ont parlé de femmes fortes.
@iziah ça va quoi ? A ma connaissance les formes fortes cherchent plutôt à perdre du poids pas à en gagner et vous ? êtes vous forte ? Vous faites un régime ?
mon dieu, quelle daube ce bouquin... il finira adapté sur TF1
Mais c'est un livre assez mal travaillé par endroits. Par exemple, le personnage principal est un nain - et Il y a une scène au milieu du livre où il s'oppose à son rival, Neri. Le personnage principal, est un nain. Son rival du même âge, en revanche, ne l'est pas. Et c'est là qu'intervient une scène comme celle-ci - "Je ne pouvais pas lever la main sur lui. Je me retrouverais aussitôt dans la rue. Je ne pouvais rien faire du tou, il le savait, je le savait, et il m'adressa un sourire satisfait. Je lui ai mis un coup de tete en plein visage.“(p.248 Iconoclaste) Je me demande comment c'est possible - un nain mis un coup de tete en plein visage? A-t-il grimpé sur une chaise ? Ou a sauté en l'air - pour frapper directement le visage de son adversaire, bien plus grand que lui ? J'ai l'impression que ni l'auteur ni la commission qui a décerné le prix n'ont lu ce passage deux fois, voire pas du tout.
Un autre lieux - "Je me dirigeai vers la porte, tirant ma malle derriere moi. Ses deux roues couinaient - he m'étais promis de les graisser sans jamais le faire.(p. 249 Iconoclaste)
Je vous rappelle que l'histoire se déroule en 1920. Et les valises à roulettes n'ont été inventées qu'en 1970. Comment cela est-il possible ? Et il y a pas mal de détails aussi fastidieux, surtout qu'ils commencent à s'accumuler au milieu du roman. Il est clair que l'auteur n'a pas relu son livre deux fois. Et le jury d'examen encore moins.
Comment un roman avec de telles lacunes peut-il être récompensé par le premier prix de France ?
C'est bien que nous ayez remarqué cela ; j'en ai vu aussi. Mais, je crois que cela n'ankylose pas le récit et n'enlève rien au talent de l'auteur. Nous sommes dans la fiction, et ces fautes-là peuvent être considérées comme vénielles. Toutefois, ce qui touche sans doute le plus, c'est la façon de narrer ; la beauté du verbe, le taux de culture distillé de fort belle manière, l'art de la description et bien de choses.
Moi ce qui me choque le plus, c'est plutôt la réalisation de la pietà qui prend 3 pages a la fin, sans beaucoup d'informations sur son fameux envoûtement...
De plus l'absence de relation ou même de tentative ou même d'envisagement de relation (me marie avec viola, lui faire un enfant, n'est jamais envisagé par mimo, je trouve ça terriblement pas réaliste)
Goncourt façon sup de co.
Small talk , il faudrait le lire ce Goncourt mais cette émission ne donne pas envie. La journaliste me semble trop souvent puérile ce qui n aide pas