VIVRE LES ÉCRINS | Documentaire
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- čas přidán 15. 09. 2023
- Le Parc National des Écrins est un lieu de haute-montagne fort en histoire, fort en relation entre l’homme et la montagne. Un milieu empli de sauvage qui façonne des vies bien différentes que celles vécues dans les vallées et campagnes. À travers le vécu et le regard d’un guide de haute-montagne, d’une gardienne de refuge et d’un chargé de mission du parc, on découvre un milieu aussi rude qu’enivrant. En plein cœur de l’hiver, ces femmes et hommes nous content leur relation avec ces sommets, avec le sauvage qui les entourent, avec les humains qu’ils croisent.
Ce film a été réalisé durant la 2nde année de mon master en Réalisation de Film Animalier, au sein de l'IFFCAM.
Mon Instagram : / guillou_clement
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Superbe! (Coucou l'algo)
Un beau reportage, qui montre bien la vie en montagne, sa rudesse, sa beauté. La passion et le dévouement des femmes et hommes qui en vivent, en font leur quotidien, et ceux qui la pratique ... sans oublier la faune et la flore qui la peuple.
Un bien chouette film avec de superbes images de lagopèdes ! On se rend bien compte à travers cette production que la montagne est un milieu rude !
Magnifique ! Merci pour le docu !
Très belles photos ! Merci !
Très beau reportage, immersif et reposant !
Superbe! Un régale a regarder, bravo et merci pour ce job!!
Un immense bravo pour ce travail de très grande qualité !
C’est la deuxième fois que je le regarde, une belle inspiration du point de vue cinématographique. Bravo
Je rêve d'être garde moniteur dans les écrins ! Merci pour ce beau reportage !
Magnifique et me donne l'envie d'y aller. Merci
Magnifique documentaire
Magnifique travail . Admirer et comprendre sont les mots d'oeuvre ! Ce que j'aime les écrins ... Bravo pour ce magnifique travail !
C'est beau.
Merci
Magnifique 🙂
Très beau, merci pour ce documentaire !
J'adore les Ecrins et le Mercantour car ce sont des parcs qui ne sont pas aussi défigurés par le ski que la Vanoise... En Vanoise on voit vraiment qu'ils ont dessiné les contours du parc en fonction des stations de ski. La rando vers le lac des vaches et col de la Vanoise, un classique, démarre en suivant un télésiège par exemple. C'est pas très intéressant, c'est pas mieux que de randonner vers Chamonix. Alors que les Ecrins, on a vraiment le sentiment de rentrer dans un espace sauvage, et les villages qui sont dans le parc mais pas dans le cœur, sont souvent très anciens et préservés. L'Alpe d'Huez et les Deux Alpes sont là, mais dans le coin nord ouest, et y a des zones comme Le Désert en Valjouffrey où là on est souvent complètement seul si on y randonne à l'automne. Il y a des glaciers magiques facilement accessibles comme le glacier blanc, des lacs superbes avec une vue démente comme sur le plateau d'Emparis, il y a ce qui est à mon avis la plus belle montagne de France avec la Meije...
Il faut savoir qu'il n'y a pas vraiment d'équivalent aux Ecrins dans les Alpes, à savoir un parc alpin avec glaciers, accessible et bien préservé, sans trop de ski ou de grandes villes. En Italie, les parcs sont moins sauvages, que ce soit le Gran Paradiso (une énorme ligne haute tension le coupe en deux) ou le Stelvio (pas mal de routes, lignes électriques vers les refuges) même si c'est très beau. En Suisse... il n'y a qu'un seul parc national, sans glacier, qui ressemble plus au Queyras. Les autres zones avec glaciers ont des trains et téléphériques partout, idem en Autriche... Dans le monde il y a évidemment des parcs nationaux avec glaciers bien plus sauvages : en Alaska, Canada, au nord ouest des USA (North Cascades National Park), mais l'accès est beaucoup plus compliqué, il faut faire des randonnées sur plusieurs jours pour être aussi proche des glaciers. Voilà pourquoi les Ecrins est assez unique, et pourquoi il faut continuer à préserver ce massif.
Mais il faut se dépêcher car les glaciers fondent et se réfugient de plus en plus en fond de vallée. Certains ont complètement fondu comme le glacier bombé de la temple sous le col de la Temple (versant La Bérarde) voie normale de l'ascension du Pic Coolidge. Je l'ai connu en 1985 avec ses crevasses et à ma revisite dans les années 90 il avait disparu et laissé place à une pente de cailloux ou un névé en début de saison. Çà fait un choc quand j'y repense !
Il y a seulement deux stations importantes en lisière du parc, Serre Chevalier et Les Deux Alpes qui a maintenant fait jonction avec Les Vallons de la Meije à La Grave. Mais à part ces deux cas il y a de petites stations locales qui ne défigurent pas le paysage. 👋🏻😊 Le Parc des Écrins c'est sauvage. Et le vallon du Désert en Valjoufrey, vallée -écrin du Pic d'Olan, est une merveille où l'on peut se balader dès avril, en restant sur le sentier menant au refuge de Fond Turbat. Vues himalayenne sur l'Olan assurée.
Aller en montagne par mauvais temps ou jo😢ur blanc n'offre aucun intérêt pour moi, donc en général je rebrousse chemin ou j'annule la course. Bon c'est logique, j'habite dans le coin donc je peux revenir. Par contre je comprends que le voyageur qui vient de loin ait envie de faire sa course coûte que coûte. 😊