Itinérance : Montréal lance une consultation publique sur la cohabitation
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- čas přidán 8. 07. 2024
- Alors que la cohabitation avec les sans-abris se complique dans les rues de Montréal, la Ville consultera sa population pour intégrer de façon « harmonieuse » les futures ressources pour itinérants dans ses quartiers.
En conférence de presse, la mairesse de Montréal, Valérie Plante, a dit souhaiter impliquer les citoyennes et les citoyens dans la recherche d’outils clairs pour améliorer nos pratiques et assurer une intégration plus harmonieuse des ressources d’aide sur le territoire.
Avec la crise du logement actuelle, la crise de l’itinérance ne semble pas près de se calmer. Les besoins ne cessent de croître et les ressources en place en ont déjà plein les bras. Les Montréalais n’ont d’autre choix que de cohabiter.
Le reportage de Marie-Josée Paquette-Comeau
Pour plus de détails, consultez notre article web : ici.radio-canada.ca/nouvelle/...
#TJ18h #montréal #itinérance
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Une "consultation publique" ou l'administration Plante n'a aucune intention de changer de politique. Valerie Plante veut simplement mieux expliquer, quelle farce. Cette consultation n'est qu'un exercice de relation publique.
Absolument puisque le responsable de l'itinérance dit que c'est déjà acté, se retenant d'en rire.
comment vivre avec le problème au lieu de comment le règler...
Tant et aussi longtemps qu'on laissera les gens avoir des comportements inaceptable sans aucune répercussion, il y aura des problèmes de cohabitation. Récemment quelqu'un a pris une photos de 3 personnes qui fumait du crack dans la rue a quelques mètre de chez moi. Il l'a publié dans un groupe du quartier. Les gens se sont attaquer à la personne qui avait pris la photo... s'il est pas content qu'il déménage. Les itinérants ont le droit de vivre... etc. Pourtant il me semble que c'est tout a fait normal de pas vouloir que quelqu'un fume du crack a quelques mètre de sa maison. C'est interdit de fumer une cigarette sur une terrasse de restaurant mais c'est rendu acceptable de fumé du crack sur les marches d'entrée d'un édifice résidentiel. Si un nouveau bar ouvre dans le quartier et que leur clientèle dérange tout les quartiers le bar va recevoir des avertissements, des amendes, devra se payer un portier et de la sécurité pour assurer un minimum de cohabitation avec les résident du quartier. Il peut même se voir révoquer son permis de boisson si la situation ne s'améliore pas. Si on organisme ouvre et leur clientèle dérange tout le quartier rien n'est fait pour changer les choses à part demander au gens du quartier d'être plus compréhensif. L'organisme n'a aucune responsabilité envers les citoyens du quartier. Imaginez investir les économies de toutes une vie pour acheter un logement dans un quartier pour y loger sa famille près d'une école et d'un parc. L'année d'après la ville ouvre un centre de consommation supervisé. Quelques jours plus tard le parc est remplis de seringue, les gens commencent a camper dans le parc, tes enfants voient des comportement déplacé dans la cour d'école, tu te fais réveiller la nuit par les cris, tu te sens plus en sécurité quand tu sors de chez toi et maintenant que ton quartier viens d'être transformer par l'arrivé d'un organisme plus personne ne veux racheter ton logement. Tu deviens alors prisonnier de cette nouvelle réalité. Impossible pour toi de démmenager, impossible de revendre ton bien et la ville ne fait rien pour controler ou améliorer la situation. Du jour au lendemain, tu perd ta qualité de vie et les économies d'une vie. Une situation idéal pour tomber dans la dépression et développer des problèmes de santé mentale. Ça peux parraitre annodin mais c'est ce qui est arrivé au gens qui on emmenager a proximiter du carré-lépine dans la ville de Quebec. En 2020 un tour de 38 millions a été construite pour loger 140 sans abris. Du jour au lendemain le secteur a complètement changer. Oui il faut loger les gens, mais loger ne veux pas dire accepter des comportements innaceptables.
Une cohabitation pour le moins des plus difficile. C'est comme la "tolérance" (voir le dictionnaire pour la définition 😉 )
Les consultations publiques des villes… que ce soit pour l acceptabilité de projets immobiliers, l acceptabilité sociale… c est du pipeau! Les dés sont pipés et le cheque est déjà dans poste. Le gars le dit sans grands détours… peu importe on va aller de l avantquand meme. La democratie n est plus ce qu elle est.
C'est beau l'entraide, quand même...
En fin de compte je pense que le langage technocratique de la communication politique creuse a du bon. Au moins, c'est honnête! ... : Montréal "lance"... à quelqu'un d'autre d'attraper.