Allah yerham echouhadas,on veut bien des documentaires pareils sur nos héros, si Kaci ihadadene,mahyouz,Mohand Saïd ouzefoun etc les nocembristes dhath nif
Gloire a nos martyres ; UN grand merci a tous ce qui on témoigner dans cette vidéo pour expliquer a nos enfants et méme aux personnes agés pour connaitre la véritée: parcequ'il y a des gents qu'ils disent que le génèral deguaul nous as fait cadeaux l'indépendance de notre pays; Je dis à ces gents là vous nier le sacrifice d'1.500 000 de MARTYRES et les laches assasinas que la france a commis . ....CITOYENS réfléchissaient un peu
Mon commentaire n’est pas un fait de digression par rapport à vos échos de la présente vidéo. Sauf que j’ai jugé utile de vanter une réalité susceptible d’être instinctivement occultée dans les sentiments latents. Et, je ne suis pas dans l’idée de mentir d’improviser un acte ou incarner un casseur de baraque voulant provoquer une tension entre les deux communautés française et algérienne présentement par delà la mer méditerranée. Nous devons admettre certaines réalités en écoutant par nos deux oreilles évitant ainsi la partialité ensuite tourner les pages sans les altérer, ce qui permettrait à la vie d’aller sur de bons rails en parfaite harmonie. Un souvenir amer d’enfance (C’est encore un rappel) : Mon père et moi étions en voyage d'un village (EX : Saint-Léonie, actuellement El-mouhgoun) mitoyen de la ville d'Arzew distant de 04 Kms de cette dernière; en ce moment, mon âge frôlait les (04) ans et le climat tournait plutôt vers la fin de l'automne car les quelques nuages se déchirèrent souvent au ciel en étalant une ombre bleue, il faisait déjà froid ou légèrement. Je portais une chemise sans tricot de peau, une veste d'un survêtement et son pantalon de couleur bleue. En sortant de chez-nous ma mère dit à mon père de ne pas oublier d'acheter une nouvelle espadrille légère en caoutchouc à mon frère cadet, elle lui a remis une mesure faite en bande d'un tissu retiré d’une robe délabrée. A la surprise de mon père, non loin de l'arrêt du bus, le paysage fourmillait de soldats en mission de fouille systématique. D'emblée, mon père retira un bout de papier de la fente-poche de sa veste, le roula finement, me descendit le pantalon et me le poussa dans le cul puis l'a relevé. Une fois, arrivés au niveau des herses barrières, un Harki monta en furieux dans le car comme un taureau ayant vu palpiter un fanion rouge et dira - : " descendez tous comme vous êtes ", en ajoutant une insanité sordide indicible. En déchaîné se lança sur mon père et le fouilla des cheveux aux pieds. Il en trouva une rouleuse de cigarettes, un sachet de cigarette en cheveux et une masse à carte. Il lui envoya une gifle méprisable et lui a confisqué son bien, mon père ne souffla point mot protestataire mais a occulté sa fureur que je connaissais de lui, s’il avait osé, la mitrailleuse aurait parlé en pétards! Puis, il s'est rué sur moi, il m'a déshabillé et m'a ôté mes chaussures (baskettes). Cependant, je tremblais de froid car ça ventait légèrement. Le Harki s'en fichait or que l'officier français lui disait laisse l'enfant tranquille mais il n'en voulait lui prêter fines oreilles et persista obstinément têtu à faire la fouille de mes effets vestimentaires. Heureusement qu'il n'en a rien déniché. Pourtant, au préalable, ces pareils Harkis n’ont cessé de me demander d’aller leur chercher du café que j’emmenasse dans un couffin fait en palmier nain que ma grand-mère préparait pour eux ;tant qu’ils fussent là, ils vinrent et tapèrent à la porte et dirent du café. Une fois un Harki me jeta le sac et me lança : toujours du café sans pitance ! Ces Harkis étaient chargés de cerner l’agglomération par le fil de fer barbelé. Ma grand-mère me dira que c’est pour assurer notre sécurité nocturne contre les loups. Plus tard, j’ai réalisé que ce fut pour éviter les intrusions des maquisards, s’ils n’avaient pas été servis, ils auraient envahi la demeure et provoqueront une confusion générale en pêle-mêle des denrées alimentaires. Ils ne se font pas priés en mélangeant semoule avec sel, sucre, huile de table, pétrole d’allumage et cassant tous les ustensiles faits en terre cuite. L’histoire de la guerre d’Algérie a été prolongée par l’avènement des contingents des Harkis. Les Français de pur sang n’en voulaient de cette belligérance. Car, ils savaient que les leurs allaient mourir en soldats inconnus sur un sol et pour une raison qui n’est pas la leur mais pour le profit des colons y établis. Lorsqu’ils furent instantanément convaincus que tous les Algériens étaient prêts à trépassé en généreux martyrs pour le moindre pan de terre. ..Un peu plus tard lorsque j'ai grandi, j'ai demandé des explications à mon père de ce qu’était l’énigme du brin de papier. Ce dernier m'informa que le papier était porteur d’une horaire destinée à deux maquisards afin de les désenclaver, parmi eux un oncle paternel (un grand), tous les deux étaient recherchés car ils furent dénoncés par des mouchards (cette histoire est longue, et je m'y arrête là). Sauf que je vous invite à considérer la conduite du Harki par rapport à celle du Français ! Ne vous étonnez pas pour mon assimilation de la langue française car dans cette période, je passais grand temps à jouer avec des enfants de souche française de mon âge, mes congénères. Remarque : Sachez que malgré l’excentricité de ce diable, je ne nourris aucune haine envers les fils de Harkis, je présume qu’ils sont innocents de façon nette jusqu’à preuve de contraire hormis si un des leurs se veut être obstinément têtu pour défendre un des siens en porte à faux de la chronique relative à cette fournaise historique. Sauf que la progéniture doit instinctivement comprendre la hargne latente de tout un chacun de mes semblables ayant été soumis à telle contrariété voire méchanceté et avoir vécu ce fait accompli incongru vis-à-vis des valeurs humaines à l’image d’abattre à bout portant un proche parent en leur présence. D’ailleurs, ils sont très nombreux. Un homme n’est qu’un enfant que les années ont fait grandir et qui aujourd’hui, témoigne par un fait marquant de quel coté était la barbarie. Ces Harkis savent bien monter des mensonges aux leurs en dénonçant l’OAS comme responsable de affres. Cette dernière est apparue après. Mais, l’histoire dira : ce qui est chat est un chat et non un autre animal. Ce monsieur Harki dit qu’il est natif de France ! Dans un cas unique et extrême présumant que ce qu’il articule est juste, les autres sont-ils nés en France ? Voyez-vous le mensonge en plein jour de façon effrontée. Quand une personne est cancre, elle plagie à même dans le bla-bla. Lorsqu'un étudiant finalise son mémoire de fin d'étude et que le jury constate un plagiat, il est radié à vie. Ces Français s’échinent de trouver des arguments substantiels pour défendre des crocodiles pleurnichards ! Les français sont-ils des humanistes ? Un adage qui est bien de chez nous dira - : " le dromadaire se divertit de la bosse des autres et oublie la sienne". Les Français dénigrent les agents de l'ALN d'avoir exécuté des milliers de Harkis après avoir quitté le sol algérien suite à leur départ. Or, après la défaite des Nazis en seconde guerre mondiale, les français ont exécuté 20.000 femmes (oui femmes) françaises considérées comme étant des collaboratrices des Allemands !!!! Des femmes ! C’est aberrant et n'est-ce pas ? Encore, ils sont tout bonnement contents d'avoir commis cette bassesse à l'image d'une abjection inégalable au détriment des siennes dans l’histoire.
Allah yerham echouhadas,on veut bien des documentaires pareils sur nos héros, si Kaci ihadadene,mahyouz,Mohand Saïd ouzefoun etc les nocembristes dhath nif
Inchallah. Si les circonstances le permettent.
Allah yarham chouhada tahia el djazair gloire éternelle à nos martyrs.
Vive les kabyles les hommes
Homage a Belaiche Akli ,fils de Mohammed et Gassemi Tassadit,village d A3FIR. Allah yarhem echouhada.
yasmine Tarzan Afir Dellys?
Les Hommes des varais Algériennes Allah tout puissant yarhamhoum
Gloire à nos Martyrs
Narvah akhouzidhe
Gloire a nos martyres ; UN grand merci a tous ce qui on témoigner dans cette vidéo pour expliquer a nos enfants et méme aux personnes agés pour connaitre la véritée: parcequ'il y a des gents qu'ils disent que le génèral deguaul nous as fait cadeaux l'indépendance de notre pays; Je dis à ces gents là vous nier le sacrifice d'1.500 000 de MARTYRES et les laches assasinas que la france a commis . ....CITOYENS réfléchissaient un peu
Mon commentaire n’est pas un fait de digression par rapport à vos échos de la présente vidéo. Sauf que j’ai jugé utile de vanter une réalité susceptible d’être instinctivement occultée dans les sentiments latents. Et, je ne suis pas dans l’idée de mentir d’improviser un acte ou incarner un casseur de baraque voulant provoquer une tension entre les deux communautés française et algérienne présentement par delà la mer méditerranée. Nous devons admettre certaines réalités en écoutant par nos deux oreilles évitant ainsi la partialité ensuite tourner les pages sans les altérer, ce qui permettrait à la vie d’aller sur de bons rails en parfaite harmonie. Un souvenir amer d’enfance (C’est encore un rappel) : Mon père et moi étions en voyage d'un village (EX : Saint-Léonie, actuellement El-mouhgoun) mitoyen de la ville d'Arzew distant de 04 Kms de cette dernière; en ce moment, mon âge frôlait les (04) ans et le climat tournait plutôt vers la fin de l'automne car les quelques nuages se déchirèrent souvent au ciel en étalant une ombre bleue, il faisait déjà froid ou légèrement. Je portais une chemise sans tricot de peau, une veste d'un survêtement et son pantalon de couleur bleue. En sortant de chez-nous ma mère dit à mon père de ne pas oublier d'acheter une nouvelle espadrille légère en caoutchouc à mon frère cadet, elle lui a remis une mesure faite en bande d'un tissu retiré d’une robe délabrée. A la surprise de mon père, non loin de l'arrêt du bus, le paysage fourmillait de soldats en mission de fouille systématique. D'emblée, mon père retira un bout de papier de la fente-poche de sa veste, le roula finement, me descendit le pantalon et me le poussa dans le cul puis l'a relevé. Une fois, arrivés au niveau des herses barrières, un Harki monta en furieux dans le car comme un taureau ayant vu palpiter un fanion rouge et dira - : " descendez tous comme vous êtes ", en ajoutant une insanité sordide indicible. En déchaîné se lança sur mon père et le fouilla des cheveux aux pieds. Il en trouva une rouleuse de cigarettes, un sachet de cigarette en cheveux et une masse à carte. Il lui envoya une gifle méprisable et lui a confisqué son bien, mon père ne souffla point mot protestataire mais a occulté sa fureur que je connaissais de lui, s’il avait osé, la mitrailleuse aurait parlé en pétards! Puis, il s'est rué sur moi, il m'a déshabillé et m'a ôté mes chaussures (baskettes). Cependant, je tremblais de froid car ça ventait légèrement. Le Harki s'en fichait or que l'officier français lui disait laisse l'enfant tranquille mais il n'en voulait lui prêter fines oreilles et persista obstinément têtu à faire la fouille de mes effets vestimentaires. Heureusement qu'il n'en a rien déniché. Pourtant, au préalable, ces pareils Harkis n’ont cessé de me demander d’aller leur chercher du café que j’emmenasse dans un couffin fait en palmier nain que ma grand-mère préparait pour eux ;tant qu’ils fussent là, ils vinrent et tapèrent à la porte et dirent du café. Une fois un Harki me jeta le sac et me lança : toujours du café sans pitance ! Ces Harkis étaient chargés de cerner l’agglomération par le fil de fer barbelé. Ma grand-mère me dira que c’est pour assurer notre sécurité nocturne contre les loups. Plus tard, j’ai réalisé que ce fut pour éviter les intrusions des maquisards, s’ils n’avaient pas été servis, ils auraient envahi la demeure et provoqueront une confusion générale en pêle-mêle des denrées alimentaires. Ils ne se font pas priés en mélangeant semoule avec sel, sucre, huile de table, pétrole d’allumage et cassant tous les ustensiles faits en terre cuite. L’histoire de la guerre d’Algérie a été prolongée par l’avènement des contingents des Harkis. Les Français de pur sang n’en voulaient de cette belligérance. Car, ils savaient que les leurs allaient mourir en soldats inconnus sur un sol et pour une raison qui n’est pas la leur mais pour le profit des colons y établis. Lorsqu’ils furent instantanément convaincus que tous les Algériens étaient prêts à trépassé en généreux martyrs pour le moindre pan de terre. ..Un peu plus tard lorsque j'ai grandi, j'ai demandé des explications à mon père de ce qu’était l’énigme du brin de papier. Ce dernier m'informa que le papier était porteur d’une horaire destinée à deux maquisards afin de les désenclaver, parmi eux un oncle paternel (un grand), tous les deux étaient recherchés car ils furent dénoncés par des mouchards (cette histoire est longue, et je m'y arrête là). Sauf que je vous invite à considérer la conduite du Harki par rapport à celle du Français ! Ne vous étonnez pas pour mon assimilation de la langue française car dans cette période, je passais grand temps à jouer avec des enfants de souche française de mon âge, mes congénères. Remarque : Sachez que malgré l’excentricité de ce diable, je ne nourris aucune haine envers les fils de Harkis, je présume qu’ils sont innocents de façon nette jusqu’à preuve de contraire hormis si un des leurs se veut être obstinément têtu pour défendre un des siens en porte à faux de la chronique relative à cette fournaise historique. Sauf que la progéniture doit instinctivement comprendre la hargne latente de tout un chacun de mes semblables ayant été soumis à telle contrariété voire méchanceté et avoir vécu ce fait accompli incongru vis-à-vis des valeurs humaines à l’image d’abattre à bout portant un proche parent en leur présence. D’ailleurs, ils sont très nombreux. Un homme n’est qu’un enfant que les années ont fait grandir et qui aujourd’hui, témoigne par un fait marquant de quel coté était la barbarie. Ces Harkis savent bien monter des mensonges aux leurs en dénonçant l’OAS comme responsable de affres. Cette dernière est apparue après. Mais, l’histoire dira : ce qui est chat est un chat et non un autre animal. Ce monsieur Harki dit qu’il est natif de France ! Dans un cas unique et extrême présumant que ce qu’il articule est juste, les autres sont-ils nés en France ? Voyez-vous le mensonge en plein jour de façon effrontée. Quand une personne est cancre, elle plagie à même dans le bla-bla. Lorsqu'un étudiant finalise son mémoire de fin d'étude et que le jury constate un plagiat, il est radié à vie. Ces Français s’échinent de trouver des arguments substantiels pour défendre des crocodiles pleurnichards ! Les français sont-ils des humanistes ? Un adage qui est bien de chez nous dira - : " le dromadaire se divertit de la bosse des autres et oublie la sienne". Les Français dénigrent les agents de l'ALN d'avoir exécuté des milliers de Harkis après avoir quitté le sol algérien suite à leur départ. Or, après la défaite des Nazis en seconde guerre mondiale, les français ont exécuté 20.000 femmes (oui femmes) françaises considérées comme étant des collaboratrices des Allemands !!!! Des femmes ! C’est aberrant et n'est-ce pas ? Encore, ils sont tout bonnement contents d'avoir commis cette bassesse à l'image d'une abjection inégalable au détriment des siennes dans l’histoire.
merci pour ce déchirent témoignage, monsieur.
الله يرحمك يا جدي😢
Souhaitons une rediffusion sous- titrée en Arabe ou en français pour apprécier l'histoire de nos héros.
chez nous en kabylie en parler pas arabe
Tout à fait une bonne initiative l histoire de la révolution algerienne concerne l ensemble des algeriens
Gloire à nos martyres.
Pourquoi le son des témoins n'est pas une vidéo ratee'
? ??
Tisas d Khiva machi n menwala a tarwa adyarhem rêve imaghrasen aazizen
Fière
E the same 33