Bataille d'Alger.شهداء المقصلة ,كاب عبد الرحمان, Kab Abderrahmane

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  • čas přidán 3. 07. 2013
  • LES HOMMES MEURENT, LES MÈRES PLEURENT, LES MÉMOIRES DEMEURENT...Il faut que les générations d'avenir sachent toute la vérité sur ce qui s'est réellemment passé durant la guerre de libération "1954-1962", en rappelant que le 1er groupe armé d'Alger dirigé par les Chouhada KAB Abderrrahmane et AZZOUZI Kaddour. Les 02 fidaines Réfugiés à l'impasse de lion lieudit Kouchet el khendek ont été encerclé par les policiers et CRS-Français, le 24 août 1955, au cours d'accrochage AZZOUZI Kaddour est tombé glorieusement au champs d'honneur (1er Chahid de la Casbah), quant à KAB Abderrahmane arrêté blessé fût guillotiné le 09 Octobre1957, à la prison civile de Barberousse (Serkadji).

Komentáře • 66

  • @zoubirramdhan5065
    @zoubirramdhan5065 Před 4 lety +3

    والدة البطل عزوزي قدور "سي محمد" أول شهيد في القصبة كانت في كل مناسبة 20 أوت 1955 ذكرى هجوم الشمال القسنطيني بقيادة الشهيد زيغود يوسف عندما تشاهد في التلفاز إحياء الذكرى تتسائل لماذا هذه التفرقة ما بين الشهداء و لم يتكلمون كذالك عن إبني الذي إستشهد في 24أوت1955؟

  • @MohamedAli-nh1cy
    @MohamedAli-nh1cy Před 4 lety +2

    ألله يرحمه..شهيد البطل..كاب عبد الرحمان...وليدي سميتو عليه كاب عبد الرحمان...ستبقي خالد في قلوبنا انت و كل شهداء الوطن...

  • @mahfodtay6648
    @mahfodtay6648 Před 2 lety +1

    الله اكبر. تحيا الجزاير عاش بطلا و مات شهيدا. الله يرحم الشهداء. المجد و الخلود لشهداءنا الآبرار

  • @user-md3in5eb4m
    @user-md3in5eb4m Před 4 lety +2

    نفخر دائما بشهيد وطننا كاب عبد الرحمان

  • @mohammedmakhloufi453
    @mohammedmakhloufi453 Před 5 lety +3

    Les hommes resteront à jamais des vrais hommes .

  • @hamletahmed9258
    @hamletahmed9258 Před 5 lety +3

    الله يرحم الشهداء ، تركوها لنا امانة فلم نحافظ عليها ،

  • @zoubirramdhan5065
    @zoubirramdhan5065 Před 4 lety +1

    Ces hommes étaient de véritables patriotes, des militants qui avaient sacrifiés leur existence pour la cause nationale .

  • @sarahchella544
    @sarahchella544 Před 4 lety +1

    C une histoire très touchante parmis de milliers d'autres histoires rebi yerham ga3 les martyres dyalna c grâce à eux qu'on peux profiter de notres liberté mnt hada c une fierté parmis tant d'autres vive d'Algérie

  • @hamzaoran7703
    @hamzaoran7703 Před 6 lety +1

    الله يرحمه و يرحم شهدائنا

  • @amazightarek8324
    @amazightarek8324 Před 6 lety +3

    L'attitude des héros...

  • @faycalidhajah3469
    @faycalidhajah3469 Před 6 lety

    الله يرحم الشهداء 😢😢

  • @user-vg6wn7ii5n

    الله اختارهم ليكرمهم بوسام الشهادة...

  • @badrelhillelgueroui3425

    ولد في 28 مارس 1933 بالقصبة ، اوقف في 02 سبتمبر 1955 ، حوكم في 25 ماي 1957 ، اعدم بالمقصلة في 09 اكتوبر 1957 على الساعة 24: 03 صباحا

  • @chaabanemouloud8282
    @chaabanemouloud8282 Před 5 lety +3

    Hamid DALI, Officier de l'ALN..."Si les murs de la Casbah pouvaient parler"... C’était un jeune homme frêle mais déterminé avec les qualités d’un grand, prêt à tous les sacrifices, résume Djamila Bouhired qui l’a bien connu à la Casbah dont il était un voisin, presque un membre de la famille"...,Le commandant Azzedine témoigne :«Hamid Dali c’est la mémoire de La Casbah et ses labyrinthes qu’il connaît parfaitement. Très jeune, il a répondu à l’appel. Il faisait partie de l’organigramme du staff de la révolution. Il était en contact avec Si Larbi Ben M’hidi sans qu’il le sache." Il le faisait rentrer et sortir de La Casbah. Il a une expérience extraordinaire...ils ont voulu écrire l’histoire de la Zone autonome non pas avec un stylo, mais avec une gomme.»....l'enfant terrible de la Casbah, DALI Ahmed dit Hamid est né le 3 juin 1936 à la Casbah. Il a fait l’école Fatah jusqu’à l’âge de 14 ans où ses parents l’orientèrent vers le métier de bijoutier. "Cela ne m’a pas plu, alors j’ai cherché autre chose". Cet autre chose, c’est l’école technique des maçons carreleurs et faïenciers de Beaulieu à El Harrach. Il en sortira diplômé. Il joue au football à l’ESMA. «J’habitais à Sidi Ramdane "Coudiat" et avec des amis, on vendait "l'Algérie libre" à la criée. On était au début des années 1950 et le messalisme était notre credo. On était déjà imprégnés des idées nationalistes. Lorsque la crise du parti éclata, une certaine confusion s’empara de tous. On ne vendait plus les journaux. Un jour Kab Abderrahmane (guillotiné) et Azzouzi Kaddour (premier martyr de La Casbah) sont venus me voir pour me dire qu’on allait passer à une seconde étape, qu’il fallait désormais se bagarrer. Je n’avais rien compris, j’avais à peine 17 ans. Mais j’ai été entraîné dans l’engrenage. Je me suis retrouvé dans l’un des premier groupes armés de la casbah, auteurs des deux attentats contre Lazib, inspecteur PRG et un traître nommé Rezki Oubabas....Azzouzi et Kab qui se trouvaient dans une échoppe à la rue de Lion furent ’’vendus’’ et arrêtés avec Saïd Houat. Azzouzi Kaddour "Si Mohamed" y laissera la vie....Après, Mustapha Akloul dit Djeta m’a contacté pour faire partie du groupe armé du FLN avec lequel j’ai mené plusieurs actions, dont le mitraillage du bar du Cheval blanc à El Biar, aux côtés de Malek Ben Rabia dit kebaili, Ali la Pointe et Mustapha Djita.Nous avions exécuté Emile Lopez de la PJ, un capitaine de la légion étrangère et le goal du sporting de Bab El Oued, Garbaniati, sans oublier les opérations de nettoyage contre les messalistes, hostiles à notre mouvement. Début 1956, le groupe démasqué a été dissous. Je suis resté seul. Par l’intermédiaire de Amara Alilou, principal agent de liaison de Yacef, j’ai demandé un laissez-passer pour monter au maquis. Mais le ’’front’’ a exigé que je reste à Alger, afin de renforcer l'effectif de la zone autonome sous les ordres de Ali la pointe qui m'a remis les 02 bombes pour les transporter vers la boîte postale de Said Touati (guillotiné), qui furent déposées aux stades municipal de ruisseau et d'el-biar." Avant d'entamer cette mission, On allait à Belcourt pour ramener des bonbonnes et des produits chimiques qu’on déposait dans un entrepôt à l’impasse Kléber avec Boussora Abderahmane et Mustapha Bouchouchi». Aussi, je fus mis en contact avec le groupe de Louni Arezki (guillotiné) qui disposait de plusieurs boîtes postales comme celle de Ramdane Haffaf ou de Baghdad Chinois..... Hamid Dali assurait le transfert de Larbi Ben M’hidi, responsable de la Zone autonome, de la Casbah vers l’extérieur. La citadelle était bouclée, encerclée par les barbelés et les points de contrôle. «Avec d’autres militants, Alilou Amara et Abderrahmane Boussora, on faisait sortir Si Larbi par la boulangerie de Hamid Chibane qui avait une porte qui donnait sur la place de Bab Edjedid et une autre qui descendait vers La Casbah. C’est ainsi que Ben M’hidi était évacué à plusieurs reprises de sa planque.....Il accompagnait Ben M’Hidi sans savoir qui il était....La grève de 8 jours décidée par le CCE a été suivie d’une vague d’arrestations d’une grande ampleur. En mai 1957, Hamid est recherché par la police. Il reste sans rien faire pendant deux mois sautant de planque en planque, gagné par le doute, vu la suspicion qui s’était emparée de tout le monde.....Hamid finira par obtenir son fameux sésame. Un laissez-passer lui est délivré par l'intermédiaire du petit Omar et signé par Hadji Othmane dit Ramel pour aller vers Tablat puis gagner les maquis...Hamid, citadin qui n’a jamais connu la vie dans les djebels, avait des appréhensions non pas vis-à-vis de ce volet, mais par rapport au bus qui le transportait sévèrement contrôlé lors du parcours, surtout depuis la sortie de Larbaâ. A deux reprises, les militaires feront descendre tous les voyageurs, à l’exception de Hamid qui mimera la posture d’un handicapé et sera ainsi épargné. «Bien avant d’arriver à Tablat et à la vue d’une crête, j’ai sauté du car comme un fou. Je me suis senti léger comme une plume et j’ai couru....couru jusqu’à une dechra où un vieil homme m’a accueilli avec un fusil de chasse braqué sur moi.....Après explications, il m’a guidé et on a marché jusqu’à Zbarbar. Là, j’ai rencontré un homme formidable, un combattant exemplaire doublé d’un poète révolutionnaire, Abderahmane Laâla du Clos Salembier, par la suite j'ai rencontré aussi Said Hamdine, Sidali Bayou et Said Moussouni. C’est là que j’ai appris la fameuse boutade relayée par les djounoud: "Rien ne sert de mourir, il faut vaincre et courir"

  • @user-vg6wn7ii5n

    في دار الشهيد علي بجاني ربي يرحموا لاعب المولودية سابقا يوجد المخزن أول شهيد بالقصبة عزوزي قدور و شهيد المقصلة كاب عبدالرحمان بكوشة الخندق حاليا شارع سعيد عمارة ،لماذا لم يتحول هذا المخزن إلى متحف للشهداء؟

  • @user-vg6wn7ii5n
    @user-vg6wn7ii5n Před 2 lety

    أول شهيد بالمقصلة، بن زلوف عبدالقادر بن دحمان، أعدم يوم 16 فيفري 1843 بساحة باب الواد.

  • @user-vg6wn7ii5n
    @user-vg6wn7ii5n Před rokem

    شهيد المقصلة عبدالرحمان كاب...

  • @user-ju8fe9zw1k
    @user-ju8fe9zw1k Před 4 lety +2

    Les moudjahidines messalistes MNA 1955

  • @lanostalgie5472
    @lanostalgie5472 Před 9 lety +1

    Le Chahid KAB Abderrahmane est né le 28 mars 1933 à la Casbah d'Alger, il a été scolarisé à l'école "Ibrahim FATAH" de Babedjdid, par la suite il a fréquenté les scouts musulmans de Birdjebbah et l'école coranique à la rue sidi ramdane, avant de pratiquer le sport du cyclisme à l'équipe de Saint eugéne, actuellement Bologhine.

  • @lanostalgie5472
    @lanostalgie5472 Před 9 lety +3

    Nous tenons à Rappeler pour l'histoire de la guerre de libération "1954-1962", concernant le témoignage du Moudjahid Rachid BOUKHARI(ancien condamné à mort) sur son camarade de prison à Serkadji, le Chahid KAB Abderrahmane, qu'il a été recueilli le 04 Février 2013, au siège de l'Organisation Nationale des Moudjahidine de la wilaya d'Alger, sis rue Mohamed Bouguerra, El Biar, en présence des 02 moudjahidine: Si KHEIREDDINE, et Si DALI Ahmed dit "Hamid", tous deux Officiers de l'ALN