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Ismael Youssouf
Registrace 15. 10. 2012
Légende da la musique comorienne Mohamed Hassan
Mohamed Hassan (RIP), auteur, compositeur et interprète
C’est une légende de la musique comorienne il contribua à la popularité du twarab dans notre pays. il Mohamed Hassan décède le 27 janvier 2013.
Je vous présente ici son unique album, quasiment introuvable sur le marché.
1 Mri Uwalao 7 :00
2 Fikirini Ndiyo Bomwanzani 7 :55
3 Tsengelea Mbapvi 6 :09
4 Dunya 6 :49
5 Mwana Mwendzao 8 :02
6 Utsilawe Furahani 5 :23
7 Wewe wa Hangu wa Daima 8 :50
8 Ngama na Roho 5 :28
9 Ya Leil 6 :58
muzdalifahouse.com/2013/02/10/pvwafu-mndru-bo-wandru/
LEO PVWAFU MNDRU BO… par Muzdalifahouse - texte : Soeuf Elbadawi
Un homme est mort, l’histoire continue, avec qui, quoi, et comment ? Seuls sauront y répondre les petits enfants comoriens du taarab, ce moment d’extase absolue et de partage en musique, lorsque le Ciel voudra enfin leur reparler de cet illustre auteur-compositeur qu’a été Mohamed Hassan. Le monde étant mal fait, le fabuleux interprète de tsengelea mbapvi ndo hwangalia s’en est allé tranquillement dans la soirée du dimanche 27 janvier 2013. A 81 ans et des poussières…
Il était fils de prédicateur, il fut le premier comorien à poser la voix du saint Coran sur une galette discographique, et il est surtout devenu hatwibu à son tour au soir de sa vie. Tel père, tel fils, dira la fable. Mais l’on n’oublie un peu vite ce qui fit la gloire d’un homme, consacré « gambusi d’or » en 2001 par ses pairs pour l’ensemble de sa carrière musicale. C’est pourtant pour cette même raison qu’il reçoit l’insigne de chevalier de l’ordre du Croissant Vert, la plus haute distinction de notre jeune république, des mains du chef de l’Etat en l’an 2010. Un fait rare pour être signalé. Car nous ne serons jamais comme ces fous de malgaches qui mettent du Rakoto Frah, flûtiste virtuose et populaire, sur des billets de banque. Mais que le pays honore un artiste à ce point est un événement en soi. Cela devrait être dit et répété pour que ça se sache.
Enfant des années 30, Mohamed Hassan surprit les siens, dans son mbude natal, en falakatant ou presque son premier instrument de concert à l’âge de dix ans. Des tiges et des feuilles de cocotier au service d’une belle mélodie d’époque. L’influence de Zanzibar, si proche, si lointaine, et de l’Egypte, beaucoup plus tard, lui servira de chemin d’école buissonnière, à défaut de conservatoire. A 17 ans, l’autodidacte, en réinventant des bribes entendus de classiques venus du monde swahili et arabe, se produira avec succès sur la place du village, à Ntsaweni, son premier luth en main. Il fonde son groupe Ikhwani Swafa en 1953, fait tomber les jeunes filles dans ses lives des années 60, anime le Mablaghu Sururi la décennie suivante et contribue à réinventer le son du taarab/ twaarabu comorien, aux côtés des Maabadi Mze, des Youssouf Abdulhalik, des Mbwana et autres Nassor Soilih.
Nous disions donc qu’un homme est mort mais que l’histoire se poursuivait. Avec qui, avec quoi, et comment ? Force est de reconnaître que ceux qui sont partis, sont bel et bien morts, avec leur secret, leur savoir-faire, leur génie en musique. En ce pays, nous ne sommes guère doués pour la transmission. Par conséquent, il nous semble normal que les héritiers du twaarab s’emmêlent les pinceaux depuis l’avènement du mot « moderinize ». Ils n’ont jamais su comment se réapproprier ce qui n’a pas vraiment été légué par leurs aînés, mais plutôt arraché sans son mode d’emploi. Le twarabu-pays ressemble aujourd’hui à un vieux boutre enlisé là-haut sur la montagne. Les « revivals » ne suffisent plus à lui redonner vie. Il suffit de voir la mise à mal des archives sonores de la radio nationale pour se rendre compte du désastre. Au final, Mohamed Hassan aura eu les honneurs de l’Etat, mais son héritage ne sera pas sauf pour autant, puisque ses vieux enregistrements ont été malmenés par les fonctionnaires de la bêtise. D’ailleurs, à l’hommage rendu, lors de ses obsèques devenues nationales par la seule volonté du président de la république, il n’aura pas du tout été question de musique, ni de patrimoine menacé. On y aura beaucoup plus parlé de l’imam qu’il était, fils et petit-fils de gens de Dieu, croyants et pieux…
Soeuf Elbadawi
C’est une légende de la musique comorienne il contribua à la popularité du twarab dans notre pays. il Mohamed Hassan décède le 27 janvier 2013.
Je vous présente ici son unique album, quasiment introuvable sur le marché.
1 Mri Uwalao 7 :00
2 Fikirini Ndiyo Bomwanzani 7 :55
3 Tsengelea Mbapvi 6 :09
4 Dunya 6 :49
5 Mwana Mwendzao 8 :02
6 Utsilawe Furahani 5 :23
7 Wewe wa Hangu wa Daima 8 :50
8 Ngama na Roho 5 :28
9 Ya Leil 6 :58
muzdalifahouse.com/2013/02/10/pvwafu-mndru-bo-wandru/
LEO PVWAFU MNDRU BO… par Muzdalifahouse - texte : Soeuf Elbadawi
Un homme est mort, l’histoire continue, avec qui, quoi, et comment ? Seuls sauront y répondre les petits enfants comoriens du taarab, ce moment d’extase absolue et de partage en musique, lorsque le Ciel voudra enfin leur reparler de cet illustre auteur-compositeur qu’a été Mohamed Hassan. Le monde étant mal fait, le fabuleux interprète de tsengelea mbapvi ndo hwangalia s’en est allé tranquillement dans la soirée du dimanche 27 janvier 2013. A 81 ans et des poussières…
Il était fils de prédicateur, il fut le premier comorien à poser la voix du saint Coran sur une galette discographique, et il est surtout devenu hatwibu à son tour au soir de sa vie. Tel père, tel fils, dira la fable. Mais l’on n’oublie un peu vite ce qui fit la gloire d’un homme, consacré « gambusi d’or » en 2001 par ses pairs pour l’ensemble de sa carrière musicale. C’est pourtant pour cette même raison qu’il reçoit l’insigne de chevalier de l’ordre du Croissant Vert, la plus haute distinction de notre jeune république, des mains du chef de l’Etat en l’an 2010. Un fait rare pour être signalé. Car nous ne serons jamais comme ces fous de malgaches qui mettent du Rakoto Frah, flûtiste virtuose et populaire, sur des billets de banque. Mais que le pays honore un artiste à ce point est un événement en soi. Cela devrait être dit et répété pour que ça se sache.
Enfant des années 30, Mohamed Hassan surprit les siens, dans son mbude natal, en falakatant ou presque son premier instrument de concert à l’âge de dix ans. Des tiges et des feuilles de cocotier au service d’une belle mélodie d’époque. L’influence de Zanzibar, si proche, si lointaine, et de l’Egypte, beaucoup plus tard, lui servira de chemin d’école buissonnière, à défaut de conservatoire. A 17 ans, l’autodidacte, en réinventant des bribes entendus de classiques venus du monde swahili et arabe, se produira avec succès sur la place du village, à Ntsaweni, son premier luth en main. Il fonde son groupe Ikhwani Swafa en 1953, fait tomber les jeunes filles dans ses lives des années 60, anime le Mablaghu Sururi la décennie suivante et contribue à réinventer le son du taarab/ twaarabu comorien, aux côtés des Maabadi Mze, des Youssouf Abdulhalik, des Mbwana et autres Nassor Soilih.
Nous disions donc qu’un homme est mort mais que l’histoire se poursuivait. Avec qui, avec quoi, et comment ? Force est de reconnaître que ceux qui sont partis, sont bel et bien morts, avec leur secret, leur savoir-faire, leur génie en musique. En ce pays, nous ne sommes guère doués pour la transmission. Par conséquent, il nous semble normal que les héritiers du twaarab s’emmêlent les pinceaux depuis l’avènement du mot « moderinize ». Ils n’ont jamais su comment se réapproprier ce qui n’a pas vraiment été légué par leurs aînés, mais plutôt arraché sans son mode d’emploi. Le twarabu-pays ressemble aujourd’hui à un vieux boutre enlisé là-haut sur la montagne. Les « revivals » ne suffisent plus à lui redonner vie. Il suffit de voir la mise à mal des archives sonores de la radio nationale pour se rendre compte du désastre. Au final, Mohamed Hassan aura eu les honneurs de l’Etat, mais son héritage ne sera pas sauf pour autant, puisque ses vieux enregistrements ont été malmenés par les fonctionnaires de la bêtise. D’ailleurs, à l’hommage rendu, lors de ses obsèques devenues nationales par la seule volonté du président de la république, il n’aura pas du tout été question de musique, ni de patrimoine menacé. On y aura beaucoup plus parlé de l’imam qu’il était, fils et petit-fils de gens de Dieu, croyants et pieux…
Soeuf Elbadawi
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Video
Légende de la musique comorienne - Ali Affandi
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Ali Affandi, auteur, compositeur et interprète, il fut dans les années 1970, l’un des chanteurs, emblématique du groupe « The Kart’s ». 1 - MTSUMBA - 4’11 2 - SIKITIKO - 3’ 36 3 - MAPVAGANILE - 5’30 4 - ZAMBE - 4’13 5 - HURORO - 4’39 6 - WA ZAMANI - 3’58 7 - DEMOKRASI - 4’46 8 - KUTU KUTU - 5’40
Hommage à Daroueche Abdou Mlanao (RIP)
zhlédnutí 362Před 3 měsíci
Daroueche Abdou Mlanao était dans les années 70, l'un des chanteurs emblématiques de l'Association Musicale et Culturelle AOULADIL'COMORES
Compilation 30 meilleurs chansons comoriennes pour enfants
zhlédnutí 219Před 3 měsíci
Depuis longtemps les artistes comoriens chantent et nous bercent au rythme des chansons dédiées aux enfants. Certaines chansons parlent de l'infécondité et la quête d'avoir un enfant à tout prix, d'autres de la nécessité de veiller sur eux en leurs donnant une bonne éducation et enfin d'autres parlent de limiter les naissances. De Youssouf Abdoulhalik en passant par Farid Youssouf, Chamsia Saga...
ABOU CHIHABI sans détours
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Abou Chihabi, artiste aux talents multiples, chanteur engagé et emblématique des années 70, son répertoire musicale est toujours d'actualités et n'a pris aucun ride malgré le temps. Abou Chihabi n'a jamais cessé de sensibiliser l'opinion sur la nécessité de continuer la lutte contre les inégalités et l'injustice afin de parvenir à un monde meilleur. Grand merci à Boule des iles, un autre monume...
FESTIVAL MBOUENI EN FETE 1ère EDITION HOMMAGE A MBOINA MLIMENGOU
zhlédnutí 86Před 8 měsíci
Première édition du Festival ‟Mbouéni en fête‟ Vendredi 17 novembre 2023 à partir de 19h30. Le thème retenu pour cette première édition est la valorisation du patrimoine artistique, culturel et sportif. Pour cette première édition, nous avons tenu à rendre hommage à un grand artiste du twarab comorien en la personne de MBOINA MLIMENGOU auteur, compositeur entre autres de l’incontournable PARFUM...
Chants patriotiques des Comores depuis le 6 juillet 1975
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Compilation de chants patriotiques des Comores avec la participation de divers artistes de l'archipel des Comores
SAID HASSAN JAFFAR BODY
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Said Hassan Mohamed Jaffar ou "Body" pour les intimes fonde fin des années 60 avec le concours de quelques amis comme Claude Collet, Jojo Collet, Abdallah Islam et Lolode Ahmed Dahalane, le groupe "Les blues jeans" qui deviendra plus tard le mythique et légendaire " The KART'S" Son engagement politique pour défendre l’intégrité territoriale des Comores est sans faille, il fut aussi un artiste h...
Association Musicale de Moroni "ASMUMO″ Une légende du Twarab Comorien des années 70 et 80.
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L’Association Musicale de Moroni "ASMUMO″, fut durant plus de deux décennies sans aucun doute le plus grand orchestre de Twarab des années 1970 et 1980 des Comores et des iles de l’Océan Indien. Sous l’influence du parti « Vert » d’Ahmed Abdallah et Said Mohamed Cheikh, des célèbres musiciens, chanteurs et grands notables de la ville de Moroni, comme Mze Abdallah Hadji, Athoumani Ibrahim, Maaba...
AOULADIL COMORES DE MORONI Musique des années 1970
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AOULADIL COMORES, est l’un des grands orchestres de Twarab des années 1970 aux Comores. • Chanson 1 "Bandarini" chanté par ABDOULBAR 0MAR AWADI • Chanson 2 "Asmouna" chanté par MOHAMED MASOUNDI • Chanson 3 "Mahaba yahaho soumou" chanté par ALI MTAMOU • Chanson 4 "Mrarazi" chanté par MOHAMED SAID ANZALI • Chanson 5 "Djenni ounike hambali" chanté par DAROUECHE • Chanson 6 "Pendro" chanté par MOHA...
Ma concierge fait la révolution. Portrait de Fatima Oussoufa sur France 2 le 06/04/2022
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Fatima Oussoufa, une comorienne, vit en France depuis plus de 20 ans. Concierge dans l’immeuble où habite le réalisateur, elle mène une double vie. Car Fatima est la figure de proue d’ un mouvement pour la démocratie aux Comores, pays dirigé d’une main de fer par le colonel Azali Assoumani. Balai à la main le jour, poing levé le soir, Fatima est tiraillé entre ses efforts d’intégration et la pu...
BEBY - La chanteuse aux multiples facettes
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Chanteuse emblématique des 80, Béby est une chanteuse talentueuse aux multiples facettes, tantôt basketteuse, tantôt militante associative, elle fut l’une des premières chanteuses moderne des Comores. Compagne pendant plusieurs années du chanteur Gam-Gam, ils sortirent ensemble avec le groupe "Goma" l’un des plus grands tubes comoriens des années 80 avec la chanson "Ndami Nawé" qui figura penda...
THE KART'S La légende
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THE KART'S, est le groupe mythique et légendaire de la musique moderne des Comores des années 1970. Durant cette période, Moroni a vu naitre plusieurs groupes de musique moderne et parmi ces groupes je peux citer The Kart’s, Les Moody blues, Les Vautours, les Anges Noirs, Vévé International, Vénus, Les super-Boys, Titanic, Les Dragons, Les poussins et j’en oublie d’autres, certainement. Cette d...
Concert de musique traditionnelle comorienne du groupe NGAYA
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NGAYA de Moroni est le groupe phare des années 80/90 aux Comores. Ce concert de musique traditionnelle comorienne a été donné à l'alliance franco-comorienne de Moroni.
Journée culturelle association CCLB France à Bagneux (24/04/1999)
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Dans de ses activités culturelles le CCLB France organise le 24/04/1999 une journée culturelle à Bagneux. Cette journée culturelle fut placée sous le thème de la promotion et la valorisation des danses comoriennes. Des jeunes franco-comoriens venant des diverses régions de France se sont prêtés au jeu pour la réussite de cette journée culturelle.
CCLB France présente SALIM ALI AMIR en concert à Bagneux
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CCLB France présente SALIM ALI AMIR en concert à Bagneux
Mourad le jeune comorien prodige du piano
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Mourad le jeune comorien prodige du piano
ULANGA TOURS "LE SPECIALISTE DES COMORES"
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ULANGA TOURS "LE SPECIALISTE DES COMORES"
MARIAGE TRADITIONNEL DE HALBI & KERINA - MADJILISS
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MARIAGE TRADITIONNEL DE HALBI & KERINA - MADJILISS
UKUMBI part 1 Odette Humblot et Ben Ali Attoumani
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UKUMBI part 1 Odette Humblot et Ben Ali Attoumani
TARI Odette Humblot et Ben Ali Attoumani
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TARI Odette Humblot et Ben Ali Attoumani
MADJILISS Odette Humblot et Ben Ali Attoumani
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MADJILISS Odette Humblot et Ben Ali Attoumani
DROUME Odette Humblot Ben Ali Attoumani
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DROUME Odette Humblot Ben Ali Attoumani
VAO Odette Humblot et Ben Ali Attoumani
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VAO Odette Humblot et Ben Ali Attoumani
Mariage de said hafizou jagger et Mariama seize
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Mariage de said hafizou jagger et Mariama seize
Merci pour cette merveille mgu namdrehemu yamlaze pvema ishallah
Les vraies chansons Comoriennes c était les années 60 jusqu’à les années 80
C'est vraiment pas juste ! Mourad aurait dû nous ravir, nous subjuguer, nous séduire encore très longtemps ! Sa maladie nous l'a confisqué. Repris avant de vraiment nous le donner : C'est du vol ! Ah, qu'est-ce qu'il va me manquer ! J'aurais pris tellement de plaisir à suivre sa carrière, à l'écouter se livrer à travers / grâce à son piano... J'espère que les droits de ces disques vont profiter à sa famille, à laquelle j'offre toutes mes condoléances. jb 20240707
Mes condoléances à sa FAMILLE Que dieu lui ouvre les portes du paradis terrestre ameen🤲
est ce qu'il vient de ntsoudjini?
Non il est de Moroni
Repose en paix Mourad
Laissez lui en paix il se repose tranquille il a donné tout ça de son vivant maintenant il demande que vous priez pour lui
Un artiste ne meurt jamais! C’est un devoir pour nous tous de rendre son œuvre éternel pour que la nouvelle génération puisse elle aussi apprécier l’artiste.
MACHA ALLAH
Un régal ❤j'ai un disc 33T j'vai essayé de enregistrer sa sur une clé et le faire partager c de la musique kon trouve pas de Partout
Moi mon 33 Tours est tombé et s’est cassé. Je ne peux écouter les derniers morceaux
Je ferai le maximum je rentre en métropole fin juillet je t'enverrai sa il ya beaucoup de morceaux auquel j'arrive pas à les avoir
Quel talent
Un artiste visionnaire qui a révolutionné la musique comorienne avec son groupe Folk Komor Océan.
1:50:05
Ma chanson préférée toilaka ❤ j'ai reconnu le cousin de ma mère
😂 merci belle chanson .
sa me rapel a badjanani les samedis de toirab
On ne sait pas qui chante. ?
• Chanson 1 "Bandarini" chanté par ABDOULBAR 0MAR AWADI • Chanson 2 "Asmouna" chanté par MOHAMED MASOUNDI • Chanson 3 "Mahaba yahaho soumou" chanté par ALI MTAMOU • Chanson 4 "Mrarazi" chanté par MOHAMED SAID ANZALI • Chanson 5 "Djenni ounike hambali" chanté par DAROUECHE • Chanson 6 "Pendro" chanté par MOHAMED MBRAKA BACHRESSA • Chanson 7 "Chenza" chanté par MOHAMED MBRAKA BACHRESSA • Chanson 8 "Toilaka" chanté par SAID HAMADI SAID BAKAR • Chanson 9 "Zinou zo ouwawa" chanté par ABDOULBAR OMAR AWADI
un plaisir de tomber sur ses chansons... souvenir de collège. Merci de nous avoir partagé ses belles mélodies " tsi wono gari le ndawo.....ou bien Moina aussi tope. Merci et merci à toi @Ismael Youssouf 👏
Plaisir partagé
Courage !!! L'inondation commence par une toute petite goutte
Pouvais vous chercher pour l’orchestre veve nationale moroni Celle d’Ali affandi svp ❤❤❤
czcams.com/video/qMqL7_ZHSZE/video.html ALI Affandi avec les KART'S
veve de MAGOUJOU Moroni 💖
@@moalimaboudou4271 les meilleurs 🎉
Salam, Je voudrais bien ces versions s'il vous plaît. Merci
@@TheLadyr91 Jvai essayer de contacter un amis de Lyon pour me les transférer
Que du bonheur à écouter ces chansons de l’époque
Tes Victime de manipulation
Merci j adore !! C est vraiment riche et authentique...
Machallah , c'est a l'époque se levait musicien.
C'est super sympa!!! J'ai adoré merci.
Mes pensées vont à ma jeunesse !
Marahaba vomoi riyecheleziza ye miziki ya assuli
Merci pour cette chanson pleine de bonne mélodie et de bon sens
Sacré personnage ! Merci d’éclairer un sujet que l’on ne voit pas beaucoup dans les journaux ! Très bon doc 👏
Très beau documentaire, bravo !
je suis triste pour la dame elle a du courage et du mérite une vrai française merci a elle un exemple pour france
Mdzadze ça fais mal au coeur
Très courageux et très brave. Même le journaliste a eu chaud. Ouff. Je suis mahoraise et je vous soutien à 300%. Etre refoulé de votre pays signifie que vous visez juste. Vérité égalité, justice. force à vous. Continuer cela payera un jour. Un proverbe dit "cavou cayna muisso". Malheureusement c'est accompagné de sacrifice. Que dieu te benie fatima, te protège et t'accompagne dans ce combat. Amine. Merci au reporteur de nous montrer la fase cachée de cette nation.
Malheureusement les gens préfèrent aller se chercher à ailleurs....😔😔😔
Quand Fatima a fini la conversation avec sa mère j'ai eu des larmes 😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭 brave femme guerrière 😘😘😘😘😘
Woiw quelle femme forte machallah, que Dieu vous préserve très longtemps et voir les fruits de vos efforts.
La force des mots dans la construction de l'imaginaire collectif. Kart's a joué un grand rôle dans la propagation des idées novatrices qui ont influencé une grande majorité des jeunes comoriens de l'époque. Vivement un documentaire sur l'épopée des musiques comorienne des années 70.
Le titre du 14 minutes c'est quoi svpl
Chongasoulclick
on t'aime Salim Ali Amir
Une belle époque fier d être là Parmis ce groupe extraordinaire
Brave jeune homme vive te courage
Woiw , je suis vraiment fière de toi jeune homme, surtout ne lache pas,et amuse toi bien et profite de ta vie à chaque instant.rien arrive par hasard tu mérites le bonheur. 💓 Frissons 😭.
Fier de toi. Bonne chance pour la suite.
Merci!!
Mashallah bonne continuation jeune homme toute mes félicitations Que dieu et te protège inshallah
Kassuda yikiri macha allah
Macha allah
thanks you for sharing this video
Masha Allah. J aurais bien aimé voir le oukoumbi.
Machallah
😍